« Les traces écrites sont quantitativement et qualitativement insuffisantes : peu nombreuses en raison de l’utilisation excessive de fichiers avec résumés à trous ». Jean-Paul Zampin, CPC, livre sur le site de l’IEN de Saint Gervais une analyse de l’état actuel des traces écrites et surtout un point des études françaises et canadiennes sur les objectifs et les usages de la trace écrite. Outil de conceptualisation et de mémorisation, la trace écrite peut devenir une aide à la métacognition. Il donne des exemples précis d’applications en classe.
