» Le nouveau ministre de l’Education nationale vient d’annoncer qu’il n’y aura pas de loi à son nom (en gage de la fin d’une politique d’évolutions «verticales» du système scolaire). La belle affaire ! Car la plupart des réformes scolaires initiées «d’en haut» l’ont été par simples décrets… », écrit Claude Lelièvre sur son blog. Selon lui, sous la Vème République seulement 7 ministres sur 34 ont donné leur nom à une loi. » On peut se demander si Jean-Michel Blanquer ne s’est pas résolu purement et simplement à »amuser la galerie », conclue-t-il.
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