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« A ce jour, des élèves n’ont toujours pas commencé leur année de terminale. D’autres ont été contraints de changer d’enseignement de spécialité pour avoir une place dans leur lycée. Un certain nombre font plusieurs heures de trajet par jour pour rejoindre un nouveau lycée. Enfin, certains élèves se voient également contraints de faire une nouvelle année dans des modules de préparation des épreuves, sans que cela ne soit un choix de leur part », annonce le Snes Ile de France. Pourtant une des mesures prises pour lutter contre le décrochage a été d’instaurer un droit au redoublement dans son lycée en cas d’échec au bac. Mais pression démographique aidant, ce droit n’est pas respecté selon le Snes. « En traquant la moindre place vacante, l’Administration fait elle-même le choix de renoncer à accueillir les élèves concernés dans les conditions pourtant prévues par la loi », souligne le syndicat Pire necore, l’administration finit par créer des classes de redoublants, ce qui permet d’alléger l’offre scolaire mais met les élèves dans une situation bien délicate.

Communiqué

Le décret de 2015

En 2014 déjà…