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 » On a donc eu dès lors (sans délibération et sans discussion) un dispositif pour le moins paradoxal : une entrée dans les universités (pour des formations en principe »longues ») soumise à la seule condition du passeport de la détention de l’un des baccalauréats existants ; et une entrée dans des formations en principe »courtes » soumises elles aussi à ce passeport mais sous condition d’un visa du lycée à l’issue d’une sélection sur dossier (incluant ouvertement un aspect »maison » des lycées d’origine et d’arrivée) ». Sur son blog, Claude Lelièvre revient sur l’histoire de l’orientation postbac et montre comment les lycées s’en sont emparés. Un équilibre qui pourrait être remis en cause par la future loi sur l’orientation.

Sur son blog