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 » Aussi est-il particulièrement étonnant de voir des chercheurs en éducation affirmer haut et fort que nous disposerions aujourd’hui de données probantes (c’est-à-dire scientifiquement validées) et de théories éprouvées à partir desquelles les autorités politiques et scolaires pourraient imposer aux écoles et aux enseignants des méthodes enfin efficaces pour faire apprendre leurs élèves », explique Maurice Tardif, professeur à l’université de Montréal, sur le site Lapresse.ca. « Ces universitaires oublient que l’utilisation politique des données et des théories probantes n’entretient aucun rapport logique et rationnel avec elles. Le pouvoir politique en fera bien ce qu’il veut, y compris des usages et mésusages potentiellement contraires aux faits scientifiques les mieux établis ». Maurice Tardif en donne des exemples confondants.

Dans La presse.ca

M Tardif : Résister à l’école à deux vitesses