Les petites écoles rurales ne veulent pas mourir. En Eure et Loir, selon l’Echo républicain, 66 classes sont menacées de fermeture. Et les parents font de la résistance. » Des enfants de 3 ans seraient obligés de passer deux heures, par jour de classe, dans les transports », rapporte une mère de famille au quotidien. L’engagement présidentiel de défendre l’école rural a du mal à se concrétiser sur le terrain où il faut aussi dégager des postes pour gérer la pénurie.