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 » Loin d’être une innovation, le « plan de travail », mis en place par Célestin Freinet dans ses classes dès les années 1930 aura mis des décennies à se déployer au collège. La nécessité de gérer l’hétérogénéité, la grande difficulté scolaire, et l’inclusion d’élèves en situation de handicap a amené les enseignants du second degré à s’emparer de ce dispositif qui nous semble très motivant pour tous », écrit Caroline Faivre, du collège La Madeleine au Mans. Pour elle,  » c’est un outil qui développe la coopération. Le plan de travail permet d’avoir une stratégie pour améliorer sa façon d’apprendre ». Pour le professeur, c’est  » le calme propice à la concentration. Lorsque nous travaillons en « plan de travail », les discussions portent sur une notion, un besoin d’aide, et les élèves s’appliquent à parler à voix basse ». A noter l’usage du « Tetra’aide » qui fait un tabac sur Twitter…

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