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 » Parler, d’accord, mais mettre des enfants de 3-5-8 ans en silence pour penser au courageux-monsieur qui est mort, non, je n’arrive pas à m’y résoudre ». Sur Twitter, des enseignants du primaire échangent sur le fait qu’ils n’ont pas effectué l’hommage décidé par le ministère. Eléments de discours envoyés par le rectorat inadapté à la psychologie d’enfants petits, peur de traumatiser les élèves, les professeurs n’ont pas parlé de l’attentat de Trèbes. Si le silence ne parait pas adapté face aux questions des enfants, des enseignants ont estimé ne pas devoir parler de l’attentat si les élèves ne posent pas de questions.

Attentats commet en parler ?

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