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« J’ai fait confiance. Je le regrette. J’ai laisse le loup entrer dans la bergerie. J’ai donné mes élèves en pature à ce genre de journalisme et le piège s’est refermé ». Véronique Favre, une enseignante de maternelle dont le Café pédagogique a déjà montré les réalisations, déplore d’avoir laissé l’émission Vox Pop d’Arte entrer dans sa classe. Elle dénonce « un montage à charge… partial et injuste par rapport à mon travail ». Pionnière de l’utilisation du numérique en maternelle elle s’estime victime du courant du moment qui va dans le sens de la dangerosité des écrans. « Des apprentissages rendus possible seulement grâce au numérique, il n’en fut pas question. Le ressort principal est la peur. La parole est répartie inégalement ». Son « droit de réponse » publié sur Twitter trouve un écho grandissant auprès des enseignants. On attend la réponse d’Arte.

Son droit de réponse

V Favre, des tablettes en maternelle, pour quoi faire ?

Le carnet de suivi avec ou sans tablette ?