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« Certains établissements nous disent qu’ils n’auront pas assez de salles… D’autres nous disent qu’ils vont sans doute devoir mettre des cours le mercredi après-midi, poursuit-il. S’ils nous l’annoncent à la rentrée, nous ne serons pas prêts. Nous ne pourrons pas adapter au dernier moment l’organisation des transports scolaires ». Les déclarations, devant le CESE régional, de Stéphane Guiguet, vice-président du conseil régional de Bourgogne Franche-Comté en charge des lycées, font sensation. Selon L’Yonne républicaine, S Guiguet met en cause le calendrier de la réforme. « Nous avons réalisé un plan pluriannuel d’équipement mais, avec les nouveaux enseignements – comme informatique et sciences numériques – les chefs d’établissement se tournent vers nous pour nous demander si nous avons prévu quelque chose. Nous n’avons rien prévu. Sur tous ces sujets, il aurait fallu au moins un an de travail en commun, avec les établissements et les inspecteurs ».

Dans l’Yonne républicaine