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Politique éducative

JM Blanquer : Un nouveau brevet en 2021

Interrogé par la commission d’évaluation des politiques publiques de l’Assemblée nationale le 3 juin, le ministre de l’éducation nationale a surtout répondu à des questions sur son budget. Mais il s’est laissé aller à des annonces. La plus importante est une réforme du diplôme du brevet pour 2021. Le ministre a aussi promis que l’Observatoire de la rémunération des professeurs verrait le jour « avant la fin de cette année »

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Pourquoi la grève du bac et du brevet ?

Onze syndicats (Snes Fsu, Snuep Fsu, Snetap Fsu, Cgt, Cgt agricole, Sud éducation, Sud territoires, Snalc, Sundep, Cgc) et 3 mouvements (Stylos rouges, Cnt, Chaine des bahuts) appellent à la grève les 1ers jours du bac (17 juin) et du brevet (27 juin). Un appel qu’on n’avait pas entendu depuis 16 ans. Qu’est ce qui motive cette décision et quel impact peut-elle avoir ?

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Frédérique Rolet : Des réformes construites contre les personnels ont peu de chance de s’appliquer

A deux semaines du début du bac, qu’est ce qui motive plusieurs syndicats à tenter une grève des examens ? Frédérique Rolet dirige un des syndicats (Snes Fsu, Snuep Fsu, Snetap Fsu, Cgt, Sud, Snalc, Sundep, Cgc) qui ont lancé cet appel avec les stylos rouges et la Chaine des bahuts. Elle explique pourquoi cette mobilisation se construite. Et rassure les élèves et leurs parents :  » Nous n’allons pas bloquer les examens ».

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Brevet : Triple échec d’un examen

C’est maintenant officiel. La Depp publie les résultats définitifs du brevet 2018. Ceux ci sont marqués par le triple échec de la nouvelle formule de l’examen mise en place en octobre 2017. Un examen qui fait échouer davantage de candidats, qui est marqué par de fortes inégalités sociales et qui demande des semaines de travail pour un diplôme inutile. Quel échec !

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Brevet : Pas si inclusif

 » Quatre élèves sur dix en situation de handicap, nés en 2001, ont passé le DNB : 85 % l’ont obtenu. 33 % des élèves en situation de handicap ont fréquenté une classe menant au DNB sans pour autant être inscrits à l’examen », souligne la Depp dans une nouvelle Note. « Enfin, 29 % des élèves n’ont pas fréquenté une classe menant au DNB. Quand ils sont inscrits, sept élèves sur dix se présentent dans la série générale et ont des taux de réussite très comparables aux élèves n’ayant pas de reconnaissance de handicap. Les élèves présentant un trouble physique ou sensoriel sont davantage inscrits au DNB et obtiennent de meilleurs résultats à l’examen. Il en est de même, à trouble identique, pour les élèves d’origine sociale très favorisée. »

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JM Blanquer, le Medef et le CNEE

Quand on signe une convention avec le Medef , à l’éducation nationale, il faut préciser que c’est un renouvellement. Le 4 juin, JM Blanquer ne s’y trompe pas en paraphant avec Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef, une nouvelle « convention de coopération ». Mais s’agit-il vraiment d’un renouvellement ou d’une nouvelle ère ? Quelle place le ministère veut-il garder alors que la coopération avec les entreprises pour l’éducation est largement transférée aux régions ? Et que reste-il du Conseil national éducation économie (CNEE) quand l’Etat signe avec le Medef ?

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L’environnement reste une affaire de lycéens

Le 12 mars, JM Blanquer « aux cotés des lycéens » annonçait une « mobilisation générale des lycées dans la lutte contre le changement climatique ». On était en pleines manifestations lycéennes. Les résultats de ces mobilisations se déclinent en 8 « axes d’action » dévoilés par le ministre le 5 juin. L’environnement sera surtout la porte d’entrée pour revoir les programmes que le ministre n’a pas encore réécrits.

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Une circulaire pour réorganiser les administrations centrales

La décentralisation c’est le partage du pouvoir ou son seul déplacement géographique ? Pour déconcentrer les décisions et assurer une « transformation ministérielle » promise par le gouvernement, le premier ministre publie au JO une circulaire sur la transformation des administrations centrales. D’ici au 15 juin elles devront identifier deux délocalisations de « service , opérateur ou directions ». La rédaction de la circulaire pointe déjà une solution pour les ministres… La circulaire bloque la création de nouvelles commissions en bloquant leur nombre et invite les ministre à revoir l’organigramme de leur ministère. Enfin la circulaire appelle à limiter le nombre de circulaires… Selon JM Blanquer, qui s’en est expliqué devant la commission des finances de l’Assemblée, l’éducation nationale est sous administrée par rapport aux autres ministères.

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Une circulaire prend l’école inclusive sous l’angle gestion

 » La concertation « Ensemble pour une École inclusive », conduite auprès des parents, des associations, des AESH et des représentants des personnels enseignants et d’encadrement, a montré que les attentes restent fortes. Elle a confirmé que des progrès doivent être accomplis pour que l’École inclusive soit pleinement effective ». Ces progrès la circulaire les demande aux enseignants alors que l’administration met en place les PIAL pour mutualiser les AESH et en limiter le nombre.

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Marc Bablet : L’éducation prioritaire n’est plus pilotée

« Depuis l’arrivée du ministre Blanquer, l’éducation prioritaire n’est plus pilotée. Il n’y a de communication que sur le dispositif des CP et CE1 dédoublés qui donnent lieu à une transmission d’instructions descendantes autoritaires comme on en a rarement vu », écrit Marc Bablet, ancien responsable de la question à la Dgesco.  » Tout est fait pour nous confirmer ce que nous avons pu percevoir dès l’arrivée du ministre aux affaires : on vise l’indifférenciation de l’éducation prioritaire à l’exclusion de la question des moyens qui sont renforcés par décision de la présidence de la République (on ne fait pas toujours ce que l’on veut quand on est ministre). On vise l’indifférenciation des élèves de milieux populaires dont on a une image uniquement déficitariste : comme le problème est dans l’élève, la solution est la « personnalisation pédagogique» qui n’est jamais définie… Le prétendu « pragmatisme » n’est que choix idéologique et volonté d’occuper le terrain politique avec de beaux discours… La lecture des trois recommandations annexées à la circulaire de rentrée est très instructive. Rien n’est fait pour reconnaître des besoins éducatifs et pédagogiques spécifiques aux élèves des milieux populaires quand ils sont concentrés dans les quartiers populaires. Tout au contraire, l’élève dont il est question est un élève désincarné qui n’a ni sexe ni origine sociale. Et les « recommandations pédagogiques » qui, comme les précédentes, sonnent comme des ordres, ne parlent pas de la réalité des classes et de l’enseignement. On doit plaindre ceux qui sont chargés de relayer ces « ordres » comme cela leur est rappelé dans la circulaire au cas où ils auraient oublié qu’ils sont des exécutants ».

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Manifestation pour l’onisep et les CIO le 18 juin

Huit syndicats (Snes Fsu, Cgt, Sud, Sgen Cfdt, Se Unsa, Snasub Fsu, Snptes et FO) appellent à une manifestation nationale le 18 juin « pour la défense du service public d’orientation et de l’onisep ».  » Cette réforme emblématique de l’orientation assujettie prioritairement aux besoins économiques locaux, cristallise une conception qui va à l’encontre d’une vision émancipatrice d’une école luttant contre les freins et déterminismes sociaux. L’intersyndicale appelle la profession à continuer de combattre le projet de démantèlement de l’Onisep, de suppression de 60% des effectifs dans les Dronisep, et l’expérimentation de mise à disposition des régions des personnels impliqués dans l’orientation des élèves; à se mobiliser pour le maintien du service public d’orientation de l’Education nationale et de l’ONISEP en participant massivement à la journée nationale de grève et de manifestation à Paris le 18 juin ».

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Préavis de grève dans l’enseignement agricole

L’Intersyndicale – CGT-Agri – Fep-CFDT – FO-Enseignement agricole – Sea-UNSA – SUD-Rural territoires – Sneip-CGT – Snec-CFTC – Snetap-FSU dépose un préavis de grève couvrant toute la période des examens, du 11 juin au 12 juillet. Plusieurs revendications expliquent cette mobilisation pariculière. D’abord la question chronique de la précarisation des emplois. Elle est aggravée par la loi avenir professionnel qui a confié aux branches le financement de l’apprentissage mettant en péril les petits centres. A cela s’ajoute la décision ministérielle de déréguler les seuils de dédoublement des classes.  » En dépit des actions conduites et malgré le vote négatif du CNEA le 16 avril 2019, il (le ministre de l’agriculture) a maintenu sa décision de relever les seuils de dédoublements en refusant de les rétablir à 16, 24, 32 élèves et étudiant·es par classe. Pourtant les conséquences directes de la mise en œuvre de ces mesures sont claires et se confirment alors que les établissements tentent de préparer la rentrée 2019 : dégradation des conditions d’apprentissage des jeunes; difficulté à mettre en œuvre les référentiels des travaux pratiques (professionnels, TIM, TP Bio ou physiques, ESC…); dégradation des conditions de sécurité; difficulté à maintenir une pédagogie de projet; difficulté d’accompagnement des élèves présentant des difficultés d’apprentissage ou en situation de handicap ».

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Orientation : E. Philippe promet la liberté de choix des lycéens

A la question de Jean Christophe Lagarde (UDI) sur l’orientation des lycéens, le 4 juin, c’est le premier ministre, et non JM BLanquer, qui a apporté une réponse.  » Pour ce qui concerne les choix à effectuer en fin de classe de seconde, nous ne voulons pas créer un système qui impose aux lycéens de faire des choix qui conditionneraient ou qui prédétermineraient leur orientation dans l’enseignement supérieur ou dans le monde professionnel », répond Edouard Philippe. « Vous savez que l’ancien système, celui que vous et moi avons connu, consistait très souvent à demander aux jeunes gens de choisir très tôt entre la filière scientifique, la filière économique et la filière littéraire. Une fois ce choix effectué, ce système ne permettait que très marginalement une réorientation au moment de l’accès à l’enseignement supérieur. C’est notamment ce à quoi nous avons voulu mettre un terme en prévoyant des modules beaucoup plus variés. Cela nous semble à la fois plus intelligent pour le lycéen, et beaucoup plus intelligent pour l’étudiant futur, car nous avons constaté que la diversité des formations des lycéens constituait un gage de qualité de l’enseignement supérieur. La plus grande diversité des matières choisies en classes de première et de terminale sera un gage de qualité accrue pour les professeurs et pour les formations de l’enseignement supérieur. Il ne s’agit donc pas du tout de prédéterminer, dès la fin de la seconde, des choix professionnels, mais, au contraire, d’ouvrir la possibilité de choix futurs ». Une affirmation osée mais couverte par le secret des algorithmes des établissements d’enseignement supérieur.

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Rapport sur les inégalités : De l’école à la fac, un parcours marqué par les inégalités sociales

Les inégalités sociales, à l’école, se portent bien. C’est ce que vient nous rappeler l’Observatoire des inégalités qui a publié le 4 juin son rapport, le troisième depuis 2015, alors que le sujet est relégué au second plan. Le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer estime en effet l’avoir traité avec le dédoublement des classes de CP et de CE1 en éducation prioritaire. Au collège, les enfants d’ouvriers représentent un quart des élèves. En classes prépas il ne sont plus que 7%… Même si les enfants de milieux défavorisés vont aujourd’hui plus loin dans les études et qu’ils en sortent plus diplômés, les écarts entre les milieux sociaux pèsent lourd à l’école française. Retour sur les chiffres du rapport, analysés avec finesse, qui dessinent un paysage bien injuste.

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Métier enseignant

Carrière des enseignants : Osons la comparaison européenne..

C’est une Note très originale que la Depp, division des études du ministère, publie le 4 juin. Elle est consacrée à « la carrière des enseignants en Europe ». Nous n’avons pas retrouvé de Note antérieure sur ce sujet à la Depp alors même que la source, une étude européenne d’Eurydice, en est à sa troisième publication. Cet intérêt soudain pour la situation des enseignants dans les autres pays européens renvoie aussi aux politiques françaises…

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Décevants sujets zéro de première

Eduscol publie les sujets zéro des épreuves de controle continu des enseignements communs et de la spécialité uniquement suivie en première. Or bien souvent ces sujets sont décevants. Ainsi en histoire géographie voie générale la question de géographie est une question de cours. En série technologique, le sujet garde pour la moitié des points les questions de cours dans le style du bac actuel. Quand à l’étude du document on la croirait sortie d’un Mallet Isaac. Pour la spécialité Histoire géo géopolitique et sciences politiques, le rédacteur s’est contenté d’une question de cours à réciter : « quels sont les différents aspects de la puissance des Etats-Unis aujourd’hui ». IL parait que la réforme du lycée devait meiux préparer les élèves à l’enseignement supérieur. La suppression des TPE avait déjà montré que cette affirmation n’était pas soutenue. La nullité et le retour aux simples questions de cours et à la mémorisation dans les évaluations du futur bac le confirme.

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Bac 2019 : Les sujets de langues et maths du Liban, de français d’Amérique du Nord

Pour l’EAF, en série L, les candidats d’Amérique du Nord travaillent sur « Ecriture poétique et quête de sens du Moyen Age à nos jours » avec l’inévitable Jean de la Fontaine… En série ES et S, le sujet porte sur « Le texte théâtral et sa représentation du XVIIe siècle à nos jours ». « Chaque semaine, un agriculteur propose en vente directe à chacun de ses clients un panier de produits frais qui contient une seule bouteille de jus de fruits. Dans un esprit de développement durable, il fait le choix de bouteilles en verre incassable et demande à ce que chaque semaine, le client rapporte sa bouteille vide… » Ainsi commence un des exercices de maths de la série S du Liban. Retrouvez aussi ici les sujets de LV2 anglais, allemand, arabe, espagnol et italien du Liban.

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Bac 2019 : Les sujets de sciences du Liban et d’Amérique Nord et les sujets de langues du Liban

En SVT , série S, les élèves du Liban travaillent sur « le domaine continental et sa dynamique » avant des exercices sur l’arganier avec ses échanges avec des champignons. En série ES et L, le sujet porte d’abord sur le jeu vidéo pour soigner une maladie des yeux puis sur le défi énergétique. Il reste dans le monde bien concret avec un sujet sur l’oubli de pilule. En Amérique du Nord, les candidats de S partent en SVT à la pêche avec les baleines à bosse. Le sujet de Sciences (épreuve anticipée) de L et ES traite de la pollution des Antilles par les sargasses (sujet local) et de la course à l’efficacité énergétique. Cinq langues font l’objet d’épreuves au Liban en LV1 : anglais, allemand, espagnol, italien et arabe. En anglais le sujet porte sur les banlieues. En allemand, il traite de la lecture.

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Le brevet 2019 en Amérique du Nord

 » Dans votre quartier, les habitants s’interrogent sur la soudaine fortune d’un voisin. Les rumeurs les plus extravagantes circulent. Imaginez les conversations qui s’ensuivent, jusqu’à ce que la vérité éclate ». C’est un des sujets de rédaction du brevet 2019 en Amérique du Nord. En histoire, les candidats travaillent sur un article du Monde sur les attentats de 2001. En EMC le sujet porte sur la solidarité fiscale.

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Agricole : Evaluation du bac STAV

Un arrêté publié au JO du 6 juin définit l’évaluation du bac STAV à partir de 2021. « Les notes prises en compte pour la délivrance du diplôme du baccalauréat technologique série « sciences et technologies de l’agronomie et du vivant » (STAV) relèvent des cinq évaluations nationales, anticipée et terminales, qui comptent globalement pour une part de soixante pour cent (60 %) de la note moyenne en vue de l’obtention du diplôme ; du contrôle en cours de formation (CCF), constitué des évaluations certificatives en cours de formation, qui compte pour une part de trente pour cent (30 %) de la note moyenne en vue de l’obtention du diplôme ; du contrôle continu, constitué des évaluations non certificatives organisées en cours de formation par les enseignants et renseignées dans le livret scolaire, qui compte pour une part de dix pour cent (10 %) de la note moyenne en vue de l’obtention du diplôme ».

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Nouveaux programmes de maths de terminale

Le conseil supérieur des programmes publie les projets de programme de terminale (spécialité) de la série générale. Le programme de la voie technologique n’est pas paru pas plus que les propositions d’évaluation. Le programme de Droit et grands enjeux du monde contemporain est aussi disponible.

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Numérique

Bruno Devauchelle : L’humain face au numérique

Facilitation, commodité, progrès, le numérique s’est inséré dans nos vies quotidiennes après avoir envahi, sous sa forme initiale informatique, le monde du travail. Devenu « fait social total » en vingt ans, le numérique s’insère dans la vie quotidienne et ses interstices (perturbateur endocrinien ?). Observer et analyser les transformations en cours est une nécessité qui devrait tous nous concerner. Mais nous n’avons pas forcément les moyens et le temps de le faire. Et pourtant l’effet de plus de quarante années de généralisation (voire 65 si l’on prend en compte les débuts industriels symbolisés par la création du mot « ordinateur ») est de plus en plus perceptible, sociologues, anthropologues, psychologues et autres chercheurs, mais aussi philosophes et éthiciens visitent de plus en plus cette question. Trois champs sont particulièrement concernés : l’humain, le social et sociétal, la connaissance.

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Bruno Devauchelle : EIM, la concurrence ?

On les nomme « équipements individuels mobiles » pour désigner les smartphones, tablettes et ordinateurs portables. S’ils sont centraux, ils ne sont pas seuls, les objets connectés pouvant compléter pour certains d’entre eux, la liste de ces objets mobiles, individuels et connectés que nous emportons (ou emporteront) avec nous. Le smartphone étant de plus en plus le « couteau suisse du numérique individuel » on le met en avant. Et cela d’autant plus qu’il est de plus en plus souvent dans la poche de chacun de nous et de nos élèves, tandis que les objets connectés n’en sont qu’au début et surtout qu’ils utilisent aussi le relais des smartphones pour fonctionner : montres, capteurs de tension ou autres, etc. On comprend dès lors que la question du choix d’un EIM relève d’une question de concurrence. Cette concurrence s’effectue sur différents critères explicités parfois, implicites, souvent. Ainsi on va les trouver plus conviviaux, offrant plus d’applications, mais on va aussi les trouver plus sympas ou encore ayant une meilleure image sociale… En éducation la question du choix des EIM est polémique.

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