« Ne pas connaitre les modalités d’examens empêche une analyse complète du projet de programme ». C’est un des problèmes soulevés par l’Apmep qui a rencontré le 18 novembre la Dgesco. Autre point soulevé par l’Apmep : le maintien ou pas des certifications intermédiaire. « Ce n’est pas tranché » , répond la Dgesco. L’Apmep souligne les difficultés de mise en oeuvre des nouveaux programmes. Les enseignants » peuvent avoir une classe en mathématiques et pas la même classe en cointervention, la répartition des heures d’accompagnement personnalisé est propre à chaque établissement, certaines classes n’ont pas de consolidation en mathématique en accompagnement personnalisé. Proposer une progression cohérente sur l’acquisition de connaissances et capacités mathématique en prenant en compte ces différentes modalités pose des difficultés », note l’Apmep qui demande un temps de concertation.
