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 » Nous avons transformé ce qui ne pouvait pas nous être imposé en un engagement volontaire. Nous conservons la liberté garantie à l’enseignement privé, tout en poursuivant notre volonté d’ouverture sociale », explique dans La Croix Yann Diraison, secrétaire général adjoint de l’enseignement catholique. Ainsi l’enseignement catholique acceptera des quotas de boursiers et de bacs pro dans ses classes du supérieur mais appliquer ses propres règles. Comme le remarque La Croix, les formation du supérieur du privé coutent 1000 à 2000 € par an aux familles et le nombre de candidats ne devrait pas être si important.  » L’étape suivante, serait de prévoir davantage de mesures d’accompagnement pour faire grimper le nombre de boursiers et de bacheliers pro parmi les candidats »…

Dans La Croix