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 » Pour être à la hauteur des circonstances, et pour assurer effectivement en particulier une priorité proclamée au primaire, il serait bon de prendre pour exemple (en l’adaptant) ce qui a été mis en place en 1988, sans primes ou contreparties obligées », écrit Claude Lelièvre sur son blog.  » La revalorisation s’opère selon un double processus: une réévaluation générale des indices; une accélération des débuts de carrière […]. Observé sur 10 ans (1982-1992) l’échelonnement indiciaire des instituteurs connaît une progression particulière. Celle des indices de début de carrière se situe entre 22,7% pour le premier échelon et 31,4% pour le quatrième échelon. » En 1988, Lionel Jospin est ministre de l’éducation nationale. C. Lelièvre oublie de rappeler qu’au ministère il lui est encore reproché d’avoir fait cette importante revalorisation sans les contreparties qui étaient prévues. C’est justement cet exemple qui explique la position de JM Blanquer qui refuse probablement d’être un nouveau Jospin…

Sur son blog

Quand le Snes fait changer le gouvernement…

Sur la loi Jospin