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« 67% des jeunes domiciliés en région parisienne déclarent être portés par une forte ambition professionnelle qui les conduit à privilégier le choix d’études supérieures longues, alors qu’ils sont 58% dans ce cas pour ceux qui vivent dans des grandes villes de province, 48% pour ceux domiciliés dans des villes de moins de 20000 habitants, et 40% pour ceux vivant en zone rurale… Cette étude démontre que ce facteur producteur d’inégalité pénalise d’autant plus les jeunes qu’ils sont domiciliés sur des territoires à faible densité démographique », écrit B Magliulo dans un article sur son blog. Une réalité objective qui pointe l’inégalité vécue par les zones rurales après le lycée. Jusqu’au lycée ces zones sont favorisées scolairement en terme de moyens et de résultats. Elle ne disparaitra pas pour autant en jouant sur la politique scolaire comme le demande le rapport Azema Mathiot.

L’article