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L’association des professeurs de langues vivantes (APLV) se félicite de la suppression des ELCO mais rappelle qu’elle ne suffit pas.  » Au-delà de l’indispensable exigence d’acceptation par les intervenants étrangers des principes de la République, au premier rang desquels le respect de la laïcité et de la neutralité, la question des qualifications pédagogiques reste entière. L’APLV ne peut accepter que des mesures de contractualisation de certains des professeurs d’ELCO soient prises pour les maintenir dans leurs enseignements, et cela alors même que le ministère de l’Education Nationale se refuse à organiser des concours de recrutement en turc (où le dernier concours remonte à 2000), et n’augmente pas le nombre de postes aux CAPES et agrégations d’arabe. Pour mémoire, le ministre avait annoncé le 10 septembre 2018 le développement de l’enseignement de l’arabe, du chinois et du russe, et cette promesse est à ce jour restée vaine ».

Communiqué

Sur la suppression des Elco