« En France, 3,2% de la production des entreprises rémunère des intrants chinois, en moyenne. Dans certains secteurs comme le textile ou les équipements électroniques, la proportion dépasse 10%. Un choc négatif de 10% sur la production chinoise pourrait réduire le PIB français de 0,3% uniquement à travers les chaînes de valeur. Un tel choc serait su‑sant pour que la croissance de 0,2% sur le premier trimestre 2020 qui était prévue par l’INSEE en décembre 2019 se transforme en réduction de l’activité ». Une note de l’institut des politique spubliques étudie l’impact de la réduction d’activité en Chine su rl’économie française. « A court terme, fournir des liquidités aux entreprises touchées est une bonne réponse de politique économique », conclut-elle. Malheureusement, depuis la rédaction de cette note, l’impact économique est devenu plus globale et encore plus important.
