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« Un an après le suicide de Christine Renon, les conditions d’un retour de la confiance ne sont pas revenues… Faudra-t-il encore continuer à entendre, jour après jour, l’expression de la perte de confiance et même peut-être apprendre par un petit matin, à nouveau, le suicide d’une « directrice épuisée » ? », interroge Paul Devin, secrétaire général du Snpi Fsu sur son blog. « Rien n’a changé dans une institution où faire la preuve qu’on a mis en œuvre les dispositifs demandés est devenu plus important que de s’assurer qu’ils concourent aux finalités éducatives. Avec cette pointe d’ironie avec laquelle, l’air de rien, elle disait des choses essentielles, Christine Renon s’interrogeait, dans sa lettre, à propos de l’organisation d’aides apportées aux élèves sur la pause méridienne : « cela peut-il les faire progresser quant au pire ils ont faim, au mieux ils digèrent ? » »

Sur son blog