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« Après avoir espéré des aménagements : quelques dédoublements, des classes à 24 au lieu de 35, ou bien des allègements de programmes … nous avons dû nous résoudre à faire ce que l’on peut avec les moyens attribués. Et maintenant, il s’agit de terminer 80% du programme de terminale mi-mars pour que nos élèves passent les épreuves finales », écrit l’Apmep, association des professeurs de maths.  » Mettre les enseignants et les élèves dans une situation impossible ne peut que construire l’école de la défiance, de l’incompréhension et du mépris… Chacun se trouve donc devant un choix : traiter le programme intégralement à toute vitesse avant mi-mars quel que soit le prix payé par les élèves ou bien s’adapter, les accompagner au mieux jusqu’en juin pour qu’ils aient acquis le maximum de notions du programme pour leurs études futures ». A l »‘impossible , nul n’est tenu, rappelle l’Apmep.

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