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 » Parce qu’elles sont inéquitables, parce qu’elles ne concernent qu’une minorité d’agent.e.s, parce qu’elles n’augmentent pas la rémunération de manière pérenne, parce qu’elles accroissent les inégalités entre les femmes et les hommes, les primes ne peuvent être la solution à l’urgence salariale ». Quatre syndicats (la Cgt, la Fsu, FA, et Solidaires) demandent d’autres règles pour la revalorisation de la Fonction publique. Elles  » dénoncent l’absence de discussion salariale au niveau de l’ensemble de la Fonction Publique, tout étant renvoyé à des mesures insuffisantes, partielles et sectorielles. Par ailleurs, les discussions sectorielles, quand elles existent, n’interrogent quasiment jamais les carrières et l’avancement et n’apportent que des propositions sous forme d’indemnités, primes, heures supplémentaires ». Une situation que les enseignants connaissent bien d’après ce que l’on sait des propositions ministérielles : des primes d’attractivité et d’équipement. Pas de revalorisation salariale.

Communiqué

Les propositions dans l’éducation nationale