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 » Les élèves qui ont travaillé le plus sont plus nombreux parmi ceux qui, selon leurs parents, sont de bons ou excellents élèves. Les filles, et les élèves de milieux très favorisés, ont également travaillé davantage. Outre la quantité, la nature du travail effectué a également différé, selon le niveau scolaire. Un quart des élèves du second degré a été entièrement autonome pour travailler », annonce une nouvelle Note de la Depp. Sans surprise, le confinement a nui aux élèves des milieux défavorisés. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir été soutenus par leurs parents :  » l’accompagnement des parents dans la réalisation du travail scolaire a été plus fréquent chez les élèves ayant des difficultés scolaires (92 %) que chez les élèves d’excellent niveau (79 %) ». Au final,  » Le travail scolaire pendant le confinement a davantage profité aux meilleurs élèves et aux filles ».

La Note