Selon l’Adeaf, association des professeurs d’allemand, » la situation de l’allemand et des professeurs d’allemand n’a cessé de se dégrader depuis 2016 en quantité, avec la baisse du nombre d’élèves, d’heures et d’enseignants, en qualité, avec une baisse de niveau inévitable en raison du nombre d’heures d’enseignement insuffisant ». A la veille de la « journée franco allemande du 22 janvier, l’Adeaf dénonce « la situation inacceptable de nombreux collègues qui travaillent dans 2 ou plus d’établissements sur tous les niveaux, souvent sans une seule demi-journée de libre pour le travail de préparation et correction, les regroupements aberrants et anti-pédagogiques, la mise en concurrence des disciplines pour la distribution des moyens et la non reconnaissance voire le manque de considération pour tout l’investissement bénévole ».
