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« En deux jours, plus de 200 réponses de communes en grande difficulté… attestent que le besoin en animateurs n’est pas couvert, à la fois pour les temps d’accueil périscolaire du matin, de la pause méridienne et du soir avant et après les temps de classe dans le premier degré », écrit l’Andev, association des directeurs éducation des villes. « Jusqu’à 37 % de déficit de présence constaté dans certaines situations, obligeant certaines municipalités à faire des choix de familles prioritaires ou à devoir fermer ces temps d’accueil pour des raisons de sécurité ». L’Andev demande l’intervention de l’Etat. « Même si les collectivités font preuve d’inventivité pour trouver des solutions de crise et engagent des plans d’actions et budgets RH conséquents pour améliorer ce qui est en leur pouvoir, elles ne peuvent plus être seules à devoir faire face à cette situation très critique, qui met à mal le service public d’éducation ».