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Le budget de l’éducation nationale adopté
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L’article
« On ne peut pas parler de casse du service public quand le budget du service public de l’éducation nationale connait une telle hausse ». Le 25 octobre, devant l’Assemblée, le ministre de l’éducation nationale n’a pas tant défendu son budget que son bilan. Pour lui le budget de l’Education nationale connait une augmentation inédite depuis son arrivée aux affaires. L’opposition n’a pas tant contesté les chiffres que montré l’écart avec les réalités vécues sur le terrain. Au final le budget est adopté par 24 voix contre 7 ce qui fait quand même bien peu.
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Près de 500 postes d’enseignants supprimés dans le second degré
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L’article
« Le projet de loi de finances 2022 consacre l’engagement du gouvernement en faveur de l’éducation », affirme le Conseil des ministres. Avec 55 milliards pour l’enseignement scolaire , le budget de la rue de Grenelle augmente de 1.6 milliard soit 3%. Sur cette somme seulement 400 millions sont à mettre au titre de la revalorisation des personnels, et non 700 millions comme le dit le ministère. Malgré la crise sanitaire et ses effets, seulement 50 emplois sont créés dans l’enseignement. Mais 470 emplois d’enseignants sont supprimés dans un second degré déjà bien sous tension.
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Un budget 2022 favorable au privé
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L’article
La publication des « bleus budgétaires » permet d’avoir une vue plus précise et plus solide sur le budget de l’Education nationale. Celui de 2022 est marqué par une constante : la stabilité des emplois, trait caractéristique du ministère Blanquer. Et par une touche spéciale : c’est l’enseignement privé qui connait la plus forte croissance des dépenses en 2022.
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Blanquer la revalorisation et les 600 millions…
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L’article
« Les chiffres sont là. On est le gouvernement qui depuis toujours a fait la plus forte augmentation budgétaire ». Répondant à la député socialiste S. Tolmont, devant la commission des finances de l’Assemblée, le 3 juin, JM Blanquer vante sa gestion de l’Education nationale. « Le mythe de l’Education nationale sacrifiée est faux ». Il s’inscrit en faux sur deux points : son gouvernement est celui qui a augmenté le plus le budget de l’Education nationale. Les reports de crédits qui ont eu lieu en fin d’année 2020 (environ 640 millions) ne sont pas des économies mais des décalages de consommation. Des propos qui méritent d’y aller voir d’un peu plus près…
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