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 » A moins d’un mois des épreuves de spécialité, les règles de la session 2022 du bac sont toujours soumises aux interprétations locales fluctuantes. Seule certitude, le ministère n’a pas pris la mesure du travail que cela représente », relève le Snes Fsu.  » Il demeure beaucoup de flou sur le niveau d’exigence comme sur les modalités de correction. Par exemple, si les attestations de langues vivantes sont supprimées pour cette session, de nombreux inspecteurs considèrent bizarrement que l’épreuve orale d’enseignement technologique en langue vivante (ETLV) doit malgré tout se tenir au nom même de l’existence de l’attestation… On voit mal comment pourront être menées de front toutes ces réunions, les corrections, les épreuves orales, pratiques et expérimentales, tout en continuant les cours. Et ce d’autant plus que le doublement des sujets afin de permettre l’organisation de l’examen écrit sur moins de trois jours, complexifie les corrections ». Le Snes demande des décharges de cours. Pour le Snes Fsu,  » Les élèves de Terminales libérés pour des révisions dès le 9 mai ne pourront en réalité jamais retrouver un emploi du temps stable. Les enseignants convoqués pour les examens ne pourront pas plus assurer leurs cours auprès des autres niveaux. »

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