» Il s’agit de »noyer le poisson » en substituant d’autres questions ou d’autres problématiques à la question qui gène (selon la stratégie de la »défense de rupture ») », estime Claude Lelièvre en réponse aux déclarations de JM Blanquer sur le scandale Avenir lycéen. « Si on veut la clarté, alors il s’agit surtout de ne pas perdre de vue la question : le ministère et le ministre ont-ils participé à la mise en place d’un »syndicat maison » ( une opération qui n’a jamais eu lieu auparavant) ; et il faut obtenir une instruction de cette question par une instance indépendante », et non par la Dgesco.