Les PME : le prochain marché de l’offshore ?
En France, le Syntec informatique estime que moins de 2,5% des contrats d’externalisation concernent des pays offshore. Cette part de marché, encore marginale par rapport à des pays comme les Etats-Unis ou le Royaume-Uni, pourrait toutefois passer à près de 5% en 2010 estime le syndicat professionnel des SSII. Or, si une marge de croissance existe toujours chez les grands groupes, l’avenir du marché de l’offshore passe aussi par les PME selon les sociétés de conseil. « Sur les 2,5% de projets externalisés reconnus, ne sont concernés que les grands comptes ou presque. Dans l’esprit des informaticiens, l’offshore est encore synonyme de grandes SSII comme Accenture, de grands comptes et de projets faramineux qui demandent des moyens aussi faramineux », analyse Michel Brock, gérant de la société de conseil en prestations offshore, MB Conseil.
http://solutions.journaldunet.com/0703/070308-offshore-pme.shtml
La messagerie unifiée : une boîte plurimédia
Avec un point d’accès unique, l’unification simplifie la gestion des flux et offre des gains de productivité, notamment pour les nomades. Attention en revanche au paramétrage et à la consommation de bande passante.
http://solutions.journaldunet.com/0703/070307-qr-messagerie-unifiee.shtml
La gangrène des projets informatiques : les conflits d’intérêts
Comment anticiper les éventuels conflits d’intérêts qui peuvent surgir au fil de la mise en œuvre d’un projet informatique ? La question se pose dès que le chantier implique plusieurs acteurs de l’entreprise, quel que soit le périmètre. Les oppositions peuvent naître entre deux unités ou filiales d’un groupe, ou encore au sein d’une même entreprise entre différents services ou fonctions (marketing, achat, etc.). Ce type de difficultés apparaît donc pour tout déploiement transverse, qu’il s’agisse d’un progiciel de gestion intégré, ou encore d’un processus métier couvrant plusieurs fonctions – typiquement une commande (qui va de la gestion des stocks à la facturation en passant par la production).
http://solutions.journaldunet.com/0703/070306-analyse-conflit-interets.shtml
La virtualisation accélère les opérations lourdes comme la copie d’images disque
L’éditeur de solution d’images disque agrandit son champ d’action en lancant Acronis Full Circle, solution de virtualisation serveur. Explications de ce revirement avec Laurent Dedenis, directeur des ventes à l’international.
http://solutions.journaldunet.com/0703/070306-3q-virtualisation-acronis-dedenis.shtml
MBA : quel impact dans une carrière informatique ?
MBA, Master Business Administration, sonne comme un passeport d’entrée lors d’un recrutement. Créés aux Etats-Unis, 3 000 MBA sont proposés aujourd’hui dans le monde. Le nombre de candidats cherchant à décrocher ce diplôme ne cesse de croître. Selon les chiffres de l’étude réalisée en 2006 par le Graduate Management Admission Council, quel que soit le type de MBA, les demandes d’inscription ont significativement augmenté en 2003, tout particulièrement pour les executive MBA : 69% de demandes supplémentaires. Une large part des profils postulant pour un MBA sont ingénieurs. Le MBA Science Po chiffrait par exemple, pour la promo 2003, à 36 % le nombre d’étudiants dotés d’une formation d’ingénieurs. Ces derniers sont généralement à la recherche d’une compétence en management. De manière générale, la durée d’un MBA varie entre une à deux années en temps plein ou partiel. Il s’articule sur trois grands axes : les modules obligatoires – comprenant généralement le management, le marketing, la finance et la comptabilité -, les spécialisations et les options. Posséder un MBA, c’est aider à se placer en tête de liste pour un poste de direction. Un informaticien a-t-il toutefois vraiment besoin de décrocher ce diplôme pour évoluer plus facilement dans une SSII ?
http://solutions.journaldunet.com/0703/070302-enquete-emploi-mba/1.shtml
Ajax et le Web 2.0 remettent en cause un grand nombre d’architectures
Licence GPL, virtualisation, plate-forme SAMP, rôle de l’Open Source… Les responsables nouvelles technologies du constructeur a répondu, en direct, aux questions des lecteurs.
http://solutions.journaldunet.com/chat/retrans/070301-sun-mahe.shtml
Le DSI, cet homme aux multiples discours
Le DSI n’est pas forcément un communiquant né, mais il sera de toutes manières amener à s’engager sur tout projet d’envergure, ne serait-ce que par son statut d’architecte des systèmes d’information. Qu’il soit plutôt technique ou plutôt gestionnaire, le directeur des systèmes d’information est attendu par ses interlocuteurs pour porter la cause de sa direction. « On trouve encore des DSI qui font complètement l’impasse sur la communication parce qu’ils se trouvent dans un contexte où on les autorise à faire cette impasse. Heureusement, certains DSI ne recevant aucun fournisseur et non adeptes des soirées cocktails ou des présentations produits font très bien leur travail. Cependant, il leur faut savoir s’entourer, surtout dans un grand groupe », constate Anatole De la Brosse, directeur associé chez SIA Conseil, société spécialisée dans le conseil en management des systèmes d’information.
http://solutions.journaldunet.com/0702/070222-dsi-adapter-son-discours.shtml
La certification de plus en plus incontournable
Dans le meilleur des cas, synonyme de reconnaissance de l’expérience professionnelle et de développement des compétences, la certification peut cependant, si elle se limite aux éditeurs ou constructeurs, n’être qu’une forme de bachotage. Elle devra donc s’inscrire dans un véritable plan de carrière afin d’être un atout pour la valorisation d’un parcours professionnel et garante d’une meilleure employabilité. Les bénéfices de la certification sont également profitables à l’employeur, qui à ce titre prend généralement une part active dans la démarche. Les SSII et les cabinets de conseil, notamment, doivent en effet savoir valoriser leur capital humain et leur expertise, voire parfois se différencier sur le marché. Des objectifs rendus possibles par la certification de leurs ingénieurs et consultants.
http://solutions.journaldunet.com/0702/070216-enquete-certification/1.shtml
Gestion de projet : forfait, régie ou… une 3e voie ?
Qu’elles soient proposées en mode régie ou au forfait, les prestations des sociétés de services informatiques tendent à répondre au plus grand nombre des besoins de clients internes par la mise à disposition de ressources humaines immédiatement opérationnelles. Mais dans cette inlassable course à l’efficacité auxquelles participent directions métiers et informatiques, ces deux modes de fourniture de prestations répondent cependant à des préoccupations bien distinctes.
http://solutions.journaldunet.com/0702/070216-regie-forfait-centre-services.shtml
Le cap des 500 000 informaticiens franchi en 2010
Co-écrit par le CAS (Centre d’analyse stratégiques) et la Darés (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques), le volumineux rapport intitulé « Les métiers en 2015 » fait notamment état de fortes créations d’emplois dans le domaine informatique. A peine 200 000 en 1985, ils seront selon les analystes plus de 600 000 informaticiens en 2015. Le cap des 500 000 informaticiens devrait même être franchi d’ici 3 ans. Entre 2005 et 2015, la création nette d’emploi d’informaticiens s’établirait à 149 000. Toutefois, les auteurs de l’étude prévoient une croissance moindre que celle enregistrée à la fin des années 90. De plus, les créations devraient concerner avant tout les techniciens et moins les cadres en l’absence de projets d’envergure comme ceux du passage à l’an 2000 et à l’euro.
http://solutions.journaldunet.com/0702/070220-emploi-2015.shtml
Survivre à un incendie grâce à la réplication de données : le cas Despinasse
Une entreprise doit mettre en place un système de sauvegarde pour poursuivre son activité en cas de sinistre. Le spécialiste de la boucherie Despinasse a opté pour la réplication instantanée avec cluster de serveurs. Un choix payant. Récit.
http://www.zdnet.fr/entreprise/service-informatique/securite/0,50007195,39367574,00.htm?xtor=EPR-108