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« Le monde d’aujourd’hui n’est plus un monde né de l’utopie d’un grand soir libéral ou socialiste. Ce n’est pas celui d’une organisation collective comme l’ont rêvé les chantres de la Banque mondiale et du FMI qu’on appelait au secours quand le feu était dans un appartement du monde. Le monde plat est un monde égoïste dans lequel les plus intelligents sont les plus à l’aise. Avant même les plus puissants… » Les Cafés de géographie débutent cette nouvelle année avec cette analyse de Gilles Fumey sur la mondialisation.

« Le monde plat verra circuler l’intelligence aussi rapidement que les capitaux. Une intelligence qui se renouvelle plus facilement dans les pays jeunes que dans les vieilles nations. C’est pourquoi J.-M Vittori écrit que nous vivons la « désaméricanisation » du monde, « qui ne touche pas le monde, mais la mondialisation elle-même ». »
Article des cafés de géo