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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Ouverture des Etats généraux de la sécurité à l’école

ÉDITORIAL

Etats généraux : Que peut-on en attendre ?

LE SYSTEME

367 000 élèves exclus chaque année l Quelle formation pour les PLP ? l L’évaluation de CM2 sur la sellette l Evaluations cm2 : « de vrais défauts » pour Sylvain Grandserre l Les profs britanniques contre les évaluations l Les conseillers d’orientation inquiets pour leur avenir

L’ÉLÈVE

Grève dans les crèches le 8 avril l Bilan « mitigé » pour les politiques en faveur des jeunes issus de l’immigration.

LA CLASSE

Près de 1400 textes au concours « Des mots pour voir »

ETABLISSEMENT PARTENAIRE

Envie de savoirs 2010

LA RECHERCHE

Le développement du jeune enfant

LES DISCIPLINES

Art Expro 2010 l Cultiver la science l Journées d’étude sur le plurilinguisme.

Le fait du jour

Ouverture des Etats généraux de la sécurité à l’école

Les Etats généraux de la sécurité à l’école s’ouvrent mercredi 7 avril à Paris. Seront-ils à même de faire avancer la réflexion collective sur ce phénomène ?

C’est Luc CHatel qui ouvrira et fermera les Etats-généraux avec deux allocutions les 7 et 8 avril. Mercredi 7, il sera suivi par une conférence à deux voix de’Eric Debarbieux et Egide Royer (Québec) sur la violence en milieu scolaire. Suivra Alain Bauer, un criminologue, et une table ronde sur la classe et l’établissement avec A Bauer, JM Roirant (Ligue de l’enseignement), le philosophe Yves Michaud, un principal Michel Flores-Garcia et Sébastien Clerc, l’expert en autorité de l’académie de Créteil. L’après –midi sera consacré essentiellement à des ateliers clos. Jeudi 8 avril les ateliers restitueront leurs travaux.

Quelle est la dimension de la violence scolaire ? Le ministère publie les statistiques recueillies par le logiciel Sivis. Il montre 13 incidents graves pour 1000 élèves en collège, 4 en lycée général et technologique et 15 en lycée professionnel. Un petit nombre d’établissements cumulent les incidents. Ainsi deux tiers des L.P. connaissent moins de deux incidents graves par an. Ces incidents sont à 80% des atteintes à la personne, dans 15% des atteintes aux biens (vols et dommages). Selon Sivis, 45% des victimes sont des personnels de l’établissement, ce qui illustre certainement les limites de ce système de déclaration. Le sous-enregistrement du harcèlement ordinaire entre élèves est évident et cela rend impossible tout suivi de l’évolution de la violence scolaire. D’après E Debarbieux elle ne serait pas beaucoup plus fréquente qu’avant mais aurait changé de nature devenant plus souvent collective et tournée contre l’institution scolaire.

Les Etats généraux ont déjà donné lieu à de nombreuses interventions dans la presse, par exemple un excellent dossier dans Le Monde. Ce quotidien a persévéré le 6 avril avec un article de G Fotinos qui montre l’importance de la relation de l’école avec les parents. «  Le problème de la violence à l’école ne peut être pleinement résolu qu’avec le consentement et la participation des parents. Pour ce faire, il faut que les parents soient associés de façon plus proche au fonctionnement de l’école et que les enseignants acceptent de les considérer comme des partenaires. Quand cela fonctionne réellement… la violence diminue considérablement. Je vous cite en exemple un collège de 900 élèves de Champigny, quartier des Mordacs (Val-de-Marne), situé en ZEP et en zone violence, où au cours de l’année scolaire il n’y avait aucun conseil de discipline. Toute l’organisation était centrée sur le partenariat avec les parents. »

Le programme

G Fotinos dans Le Monde

N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite).

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Etats généraux : Que peut-on en attendre ?

Les Etats généraux de la sécurité à l’école vont-ils apporter des réponses à la violence scolaire ?

Les Etats généraux s’ouvrent alors qu’une nouvelle affaire illustre la façon dont est perçue la violence scolaire. A Marseille, trois jeunes lycéens ont été arrêtés dans leur lycée, mis en garde à vue, dénudés, enchaînés pendant toute une journée pour avoir insulté une camarade fille d’un officier de police. Ce fait divers met en valeur le climat sécuritaire dans lequel ce colloque s’ouvre. Deux semaines auparavant le président de la République lui-même n’attendait pas les recommandations des experts pour menacer d’exclure du système éducatif les jeunes à problèmes.

Rodomontades. C’est que la violence scolaire est habituellement traitée par le discours. Quelques temps avant de partir, Xavier Darcos lançait son 3ème plan d’éradication de la violence scolaire, en l’occurrence un dispositif policier visant à quadriller le terrain. Pour la 3ème fois il promettait de venir à bout de la violence rapidement.

Expert reconnu internationalement, Eric Debarbieux ne devrait pas faire ce genre d’annonce. Le conseil qu’il préside réunit 15 scientifiques venues de spécialités différentes (psychologie, sociologie, éducation, criminologie) et aussi de 7 pays différents (Canada, Belgique, Etats-Unis, Israël, Luxembourg, Royaume-Uni, France). Après des années de discours démagogiques, avec ce conseil, le pays se dote d’un organe de réflexion unique au niveau international.

Une victoire des idées ? On peut attendre de ce conseil des propositions concrètes visant à agir sur les climats d’établissement. Une récente étude de G Fotinos montre à quel point il est dégradé dans la plupart des établissements et cela dès le primaire. Si les conditions matérielles faites à l’éducation excluent toute application sérieuse sur le terrain dans l’immédiat, le conseil devrait au moins élever le niveau d’information et de réflexion de l’opinion publique. Une sorte de semis pour l’avenir.

Etude Fotinos

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367 000 élèves exclus chaque année

Le Monde publie ces chiffres tirés d’une étude de G Fotinos qui sera communiquée aux Etats généraux de la sécurité à l’école. Elle recense 17 000 exclusions définitives et 367 000 exclusions temporaires dans les établissements secondaires français pour 2,2 millions d’élèves.

L’étude établit une géographie de l’exclusion : elle touche deux fois plus les L.P. que les lycées généraux.

Article du Monde

D Zay : Le lien exclusion et facteurs sociaux

Quelle formation pour les PLP ?

Faut-il « masteriser » les professeurs des enseignements professionnels et si oui comment ? La question est posé par le Snuep Fsu, le syndicat Fsu des PLP qui a quelques inquiétudes sur les effets de la masterisation.

« La plupart des disciplines (disciplines d’enseignement général et disciplines « technologiques ») peuvent être intégrées dans le dispositif prévu par les ministères », souligne le Snuep. « Mais de nombreuses disciplines professionnelles (disciplines « métiers ») ne possèdent pas de master, et quelques unes n’ont qu’un diplôme de niveau IV (Bac ou Brevet professionnel) ». C’est le cas notamment de nombreux métiers de la production (boulanger, maçon etc.) qu’il sera peut-être difficile de « masteriser ». « Bien que ces disciplines bénéficient d’un régime dérogatoire pour leur recrutement (les candidats peuvent passer le concours sans avoir le master), aucun texte actuel ne garantit une formation spécifique, ni pour la préparation au concours, ni pendant l’année de fonctionnaire stagiaire ».

« Pire », poursuit le Snuep, « le ministère envisage de placer les professeurs stagiaires en totale responsabilité sans réelle formation. Les trois ou quatre semaines prévues ne permettront pas aux professeurs stagiaires de développer les compétences attendues pour assurer l’ensemble de leurs missions ».

C’est qu’en effet le ministère semble envisager froidement de placer des professionnels directement devant les élèves. Le Snuep de son côté demande « le développement de master adapté aux métiers d’enseignants en lycée professionnel dans les disciplines générales et professionnelles ». Est-ce envisageable ?

Le Snuep

L’évaluation de CM2 sur la sellette

Les résultats de l’évaluation de CM2 semblent bien sujets à question. Les syndicats pensent pouvoir faire évoluer cette évaluation.

SOS Depp ! Selon le Se-Unsa, c’est la Depp qui est venue au secours de la Dgesco pour pouvoir tirer quelque chose de l’évaluation nationale de CM2. « La Dgesco était visiblement embarrassée d’annoncer des résultats bruts en baisse de 11% en mathématiques et 3% en français. La DEPP (Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance) qui a été introduite dans le processus cette année, a pu « lisser scientifiquement » les résultats, c’est-à-dire les ancrer statistiquement : dans certaines écoles, les élèves ont planché sur une trentaine d’items supplémentaires (exercices identiques à ceux de 2009) pour assurer la comparabilité sur deux années scolaires », raconte le Se Unsa. Il faut savoir que certains à la Depp avaient vécu très mal la mise à l’écart du service sur une compétence qui lui revient. La situation actuelle montre qu’évaluer nécessite un savoir-faire spécifique que la Dgesco n’a pas.

Les résultats mis en ligne. Chacun peut lire les résultats de son académie ou de son département. Ils montrent de grands écarts entre académies. Mais la publication de résultats ainsi modifiés pèse sur leur crédibilité. En 2009 les conditions dans lesquelles avait été passée l’évaluation rendait ses résultats peu crédibles. En 2010 c’est la conception même de l’évaluation qui semble loupée. « La Dgesco espérait sans doute démontrer l’efficacité des programmes de 2008. Mais force est de constater qu’elle s’est fourvoyée, notamment en refusant d’entendre les remarques de bon sens émises par les organisations syndicales depuis deux ans », continue le Se-Unsa.

Les évaluations restent nécessaires. Après le Snuipp, le Se Unsa relève aussi qu’un dialogue s’amorce avec la Dgesco sur le recadrage de cette évaluation. « Il est grand temps d’aborder enfin de front les questions que nous n’avons cessé de soulever : objectifs de ces évaluations et dates de passation ; modalités de cotation des items ; contenu des exercices proposés ; procédure par échantillonnage. » C’est que les évaluations restent nécessaires, soit pour aider les enseignants à détecter les difficultés des élèves, soit pour aider les familles et la collectivité à mesurer le travail de l’Ecole. Entre les deux il faudra peut-être choisir.

Communiqué Se Unsa

Communiqué snuipp

Dossier : Evaluation le système éducatif à un tournant

Evaluations cm2 : « de vrais défauts » pour Sylvain Grandserre

Pour Sylvain Grandserre les évaluations de CM2 manquent , cette année encore, de sérieux scientifique. Il invite à une refonte totale de ces évaluations pour en faire un appui aux pratiques des enseignants.

Lire la tribune de S Grandserre

Les profs britanniques contre les évaluations

Les tests donnent aux enfants le droit à passer des examens, pas à avoir une « vraie éducation » a déclaré la secrétaire générale du NUT, le principal syndicat d’enseignants britannique. Selon elle, ils réduisent les enfants à « un misérable tas de données mesurables formés dans un modèle mécanique d’éducation »

Le NUT a invité les enseignants à voter pour ou contre ces évaluations nationales. Et voilà qu’un rapport parlementaire vient de soutenir leur mouvement en montrant que la publication de ces évaluations ruine les efforts de certaines écoles pour construire des cours innovants. « Le gouvernement ferait mieux de faire confiance aux enseignants et de les soutenir plutôt qu’entretenir une telle batterie de tests », affirme le rapport.

Article du Guardian

Les conseillers d’orientation inquiets pour leur avenir

« Aujourd’hui, avec le refus des Conseils Généraux de financer certains Centres d’Information et d’Orientation dont ils ont la charge, voire de diminuer de façon drastique le budget alloué, c’est l’existence même des supports d’activités des personnels qui est menacée et donc leurs missions », écrit l’association des conseillers d’orientation psychologues (Acop-f). Pou rl’association de nombreux CIO sont menacés de fermeture, d’autant que l’Etat a diminué aussi ses versements.

« Sur fond de réformes du système éducatif, d’une modification des contenus d‘enseignement et des missions des autres personnels, il s’agit en réalité d’une transformation à marche forcée de l’orientation qui bouleverse de fond en comble le métier de Conseiller d’orientation-Psychologue et les repères de service public qui l’ont construit », note l’acop-f.

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Grève dans les crèches le 8 avril

Le collectif « Pas de bébés à la consigne » lance un nouveau mot d’ordre de grève le 8 avril. Après la mobilisation réussie du 11 mars, le collectif mobilise à nouveau contre le projet de décret sur les maisons d’assistants maternels. Ils dénoncent « une atteinte inadmissible à la qualité d’accueil des enfants » puisque le projet de décret augmente le nombre d’enfants par adulte et diminue le nombre d’adultes diplomés.

Le collectif

Bilan « mitigé » pour les politiques en faveur des jeunes issus de l’immigration

« Les résultats des tentatives d’évaluation des différents dispositifs restent assez mitigés », note le rapport de l’IAURIF, un institut d’urbanisme, sur les politiques et bonnes pratiques en matière de formation et d’insertion des jeunes issus de l’immigration. Cette enquête très complète fait le point sur les politiques d’intégration et d’éducation de ces jeunes en Ile-de-France. Elle souligne, comme la Cour des comptes, le manque de coordination des politiques.

« La dimension ethnique du public scolaire n’est prise en compte que de façon très marginale dans les politiques éducatives », note l’étude. « La part des enfants non francophones constitue certes l’un des indicateurs utilisés dans la sélection des établissements classés « ambition réussite », mais elle n’intervient que comme variable d’ajustement : son poids est inférieur à celui de la catégorie socioprofessionnelle des parents ». L’étude décrit plusieurs dispositifs mis en place par la région Ile-de-France, les départements, les communes ou les rectorats.

Ainsi le rapport décrit le dispositif « Réussite pour tous » de lutte contre le décrochage, initié par la région Ile-de-France. Ou encore l’expérimentation « la mallette des parents » dans l’académie de cRéteil, ou « parent d’enfant, parent d’élève » en Seine Saint Denis, deux dispositifs qui visent à rapprocher les parents de l’école. Finalement, «  Les jeunes issus de l’immigration rencontrent plus de difficultés pour s’insérer sur le marché du travail et sont sur-représentés dans les quartiers pauvres. Ils bénéficient, comme les autres, de l’ensemble des dispositifs de formation et d’insertion mis en place par l’État et les collectivités locales. Mais conformément au principe d’égalité de la République, l’État ne mène pas de politiques explicites envers les populations immigrées sauf en matière d’accueil ».

L’étude

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La classe

Près de 1400 textes au concours « Des mots pour voir »

« La première phase du concours « Des mots pour voir » vient de s’achever », nous dit Christian Perrier. « 1360 textes ont été déposés sur 2612 inscriptions… 49 pays sur les cinq continents ont participé dont pour la première fois l’Australie, le Turkménistan et la Mongolie extérieure. L’Asie est largement représentée avec de nombreux textes de Taïwan, de Hongkong et de Corée du sud ». Ce concours d’expression littéraire connaît un nouveau succès.  » Le jury va maintenant délibérer jusqu’au 22 avril », nous dit C Perrier. « Les lauréats seront connus début mai et le remise des prix aura lieu le 4 juin où nous fêterons également le 10° anniversaire du concours ».

Le concours

http://www.imageimaginaire.com

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Etablissement partenaire

Envie de savoirs 2010

Dans le cadre de la liaison lycée – université, l’Université Paris-Est Créteil Val de Marne –UPEC organise pour la troisième édition, du 3 au 6 mai 2010, l’opération « Envie de Savoirs » destinée aux lycées partenaires ou futurs partenaires.

Il s’agit de proposer à des classes de seconde et de première des lycées, d’assister à des conférences, adaptées à leurs niveaux et présentées par des enseignants chercheurs de l’université. Les thèmes de cette année, Tombouctou et l’Afrique de l’ouest vers 1500, les enjeux des nanotechnologies, « Du rustre à l’honnête homme », « de la chimie aux mathématiques », « les animaux et l’homme » et bien d’autres …

L’UPEC propose aussi dans ce cycle de conférences, des interventions pour les classes de première, sur l’offre de formation dans le cadre du programme de découverte des métiers et des formations. Cette présentation sera suivie d’une visite découverte de l’université et de la possibilité d’un repas au Restaurant Universitaire

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Le programme

Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !

Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.

L’offre établissements

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La recherche

Le développement du jeune enfant

Dans le cadre des Journées Scientifiques de l’Université de Nantes du 7 et 8 juin 2010, Le LABECD et l’ERT-E 50 organisent un colloque international intitulé « Le développement du jeune enfant : les apports de la recherche à la prise en charge des enfants aujourd’hui et demain par les professionnels ». Durant deux jurnées, 7 et 8 juin, les meilleurs spécialistes travailleront sur les apprentissages scolaires mai s aussi les relations enfants – parents, le relationnel.

Le programme

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Les disciplines

Art Expro 2010

Mercredi 14 avril, de 10 à 18h, le Théâtre de Chelles, accueille la 7ème édition d’ART EXPRO organisée par l’académie de Créteil. Cette manifestation présente les projets artistiques et culturels réalisés par les élèves de l’enseignement professionnel avec leurs professeurs et leurs partenaires culturels. Cette année encore ils seront plus d’une trentaine d’exposants venus de toute l’Académie. Sur les stands : marionnettes, sculptures, photos, maquettes, robots, costumes de scènes, récits, films. Sur scène : animation et spectacles des arts vivants. Créativité et talents seront au rendez-vous.

Sur le Café Art Expro 2008

Cultiver la science

L’Académie des sciences organise, à Paris, les 12 et 13 avril, un colloque consacré à la formation continuée des professeurs à l’enseignement des sciences. Sous le titre de Cultiver la science, la formation continue des professeurs enseignant les sciences, le colloque « s’attachera à dresser un état des lieux de la formation continuée mise en place par le ministère de l’Éducation nationale et par d’autres acteurs et institutions, à identifier le rôle et la contribution des uns et des autres et à procéder à une comparaison avec la situation dans d’autres pays européens, pour dégager perspectives et recommandations, notamment en direction des pouvoirs publics ».

Le colloque

Journées d’étude sur le plurilinguisme

« Les orientations européennes de politique linguistique insistent sur la nécessité de promouvoir une éducation plurilingue. Le centre Alain-Savary et le laboratoire ICAR proposent d’examiner les enjeux de ces orientations pour les publics de l’Éducation prioritaire ». L’INRP organise le 4 mai à Lyon cette journée d’études sur les enjeux du plurilinguisme.

Le programme

La séquence

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le Cafe

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