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« Le refus d’une collectivité d’adapter un repas en fonction des convictions religieuses des familles (ne pas servir de viande, proposer un plat de volaille à la place d’un plat à base de porc) ne saurait être assimilée à une pratique discriminatoire » écrit Dominique Baudis dans un « rapport » sur les cantines scolaires publié le 28 mars. Il vient ainsi au secours de trois communes de la Gironde qui ont éliminé les enfants non chrétiens de leur cantine en supprimant les repas de substitution le jour où elles servent du porc. Le Defenseur des droits a été institué par Nicolas Sarkozy.

Rapport

Sur les trois communes