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 » Le ministre de l’éducation, Vincent Peillon, l’avait pourtant promis : «Les devoirs seront faits à l’école», assurait-il en octobre 2012, à l’annonce de sa réforme scolaire. Les professeurs devaient même être mis à contribution pour encadrer les élèves deux heures par semaine, en échange d’une compensation financière », acrit D. Peiron dans La Croix du 6 novembre. « Un an plus tard, devant la grogne enseignante, le projet est tombé à l’eau : la loi de refondation de l’école finalement votée n’a fait que réaffirmer l’interdiction des devoirs écrits à la maison pour les élèves du primaire (règle que les professionnels outrepassent depuis 1956, date de la première circulaire sur le sujet !) et le travail scolaire occupe toujours une place importante, trop importante pour certains, dans la vie familiale. »

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