» Le projet de mise en place à la rentrée 2016 des quatre niveaux simultanément doit être repensé : la mise en place des programmes doit être échelonnée pour éviter de dégrader les conditions de travail des classes et des professeurs », déclare l’Association des professeurs d’histoire-géographie (APHG) dans un communiqué publié le 21 septembre. L’association regrette aussi que » la densité des programmes conjuguée à la pauvreté de l’horaire met en exergue le recul du disciplinaire ». Pour elle, l’horaire des EPI doit être « en sus » et non pris sur l’horaire disciplinaire. Curieusement, l’APHG se félicite de l’abandon des modules optionnels tout en vantant la liberté du professeur.
