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« Trois classes de seconde, soit une centaine d’élèves, ont donc été invitées à représenter leur espace vécu autour de la Seine, le principe de l’exercice étant d’obtenir une cartographie de l’affectif projeté sur le territoire, ici plus ou moins bien connu. Ainsi, les sensations auditives, olfactives ou visuelles, les sentiments d’attachement ou de rejet, les habitudes et les incertitudes ont été transformés en figurés cartographiques ». Ariane Jourdan, Elisa Capdevila et Emmanuel Lemée, 3 professeurs du lycée J Prévert de Boulogne-Billancourt font le bilan de cette expérience qui passe par un remarquable exercice de cartographie dynamique sur le web.

La séquence