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« Imagine-toi qu’il m’est arrivé il y a quelque temps de m’asseoir sur les bancs étroits et rongés de l’université pour écouter des cours. Le jour vint où j’eus beau me concentrer, forcer l’oreille, froncer les sourcils, prendre des notes, me remémorer les exercices faits… je ne compris rien. Pis même : plus le professeur expliquait et reformulait, plus le sens se faisait opaque ». Sur son blog, Julie Van Rechem, professeure d’histoire-géo , découvrece que ça fait que ne plus comprendre le cours. « J’avais lu le cours de manière active. J’avais fait et refait les exercices. J’avais été extrêmement attentive en cours et avais même posé des questions. J’avais demandé de l’aide autour de moi. Et pourtant j’étais devenue une « mauvaise élève »… Quand on revient en classe après un tel moment, on comprend les murs sans aspérités qui se dressent soudain autour de l’élève qui décroche du cours. Malgré tous ses efforts, toute la bonne volonté à suivre pas à pas la « méthodologie » recopiée consciencieusement sur le cahier, ça n’est toujours pas ça. On les voit, ces murs ».

Sur son blog