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« L’enjeu de ce travail est une prise de parole personnelle (on raconte avec ses propres mots), structurée autour d’un récit, le conte, et trouvant sa place dans le groupe », explique Nathalie Labarre, professeure de français au collège Molière de Beaufort-en-Anjou. Dans une évaluation finale de trois années de pratique avec une conteuse en classe de 6ème, elle conclut. « Dans le cercle de parole, tout le monde a pu parler. Certains racontent tout un conte, d’autres disent une phrase dans un conte et cèdent vite la parole. On constate que tous ont participé, chacun à sa mesure ». Mais  » L’ouverture culturelle est difficile à mesurer ».

Sur le site de Nantes