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 » La participation de la FSU aux ateliers de Grenelle se solde par le constat de l’im-possibilité de faire avancer des propositions du fait même du dispositif choisi : il n’était pas question d’une concertation, mais bien d’une opération de communication sur des visions déjà arrêtées et peu ouvertes au dialogue ». Après la défection de la CGT, puis celle de P Meirieu, la Fsu a quitté le Grenelle le 3 décembre.  » La parole des personnels au travers de celle de leurs représentants syndicaux est peu écoutée, submergée par celles « d’experts » soigneusement choisis par le ministère, dont certains n’ont pour seule expérience de l’école que de l’avoir fréquentée durant leur jeunesse, assurés pourtant de détenir les solutions malgré leur méconnaissance évidente du système scolaire et de ses réalités. » Des propos qui confirment ceux de la CGT.

Communqiué

Première défection au Grenelle