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Loi Rilhac

Loi Rilhac : Quand le ministère confirme son inutilité…

Alors que la proposition de loi Rilhac est officiellement justifiée par la nécessité d’avoir un pilote pour animer l’école, alors qu’Emmanuel Macron affirme la nécessité pour les directeurs de choisir des enseignants qui croient dans le projet de l’école, la Depp publie une Note démontrant que le collectif existe dans les écoles et qu’il fonctionne à la satisfaction des professeurs des écoles et des directeurs d’école. Par contre, la même Note montre une nette insatisfaction des professeurs des écoles par rapport à leurs conditions d’exercice du métier. Les enseignants français sont ceux qui se plaignent le plus en Europe du manque de personnel et de moyens, problèmes toujours superbement ignorés par la loi Rilhac…

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Nous, directrices et directeurs, refusons la proposition de loi Rilhac !

50 directrices et directeurs lancent un appel à l’abandon de la proposition de loi Rilhac.  » Nous refusons de passer d’un fonctionnement démocratique et collectif avec un rôle d’animateur•trice et de coordinateur•trice de l’équipe enseignante à un fonctionnement vertical et directif. Nous estimons que si cette « délégation de compétences » nous est attribuée, cela ne sera pas une reconnaissance supplémentaire mais constituera plutôt le moyen de renforcer les exigences gestionnaires à nos dépens et aux dépens de nos collègues. Nous refusons de devenir une courroie de transmission entre le ministre et nos collègues ». Avec le soutien de la Cgt, de FO, de Sud et du Snuipp Fsu, ils demandent également une aide administrative, des décharges, et un réel allègement des tâches administratives. Des revendications et une position qui réunissaient 90% des professeurs des écoles en 2019. Ils appellent donc logiquement leurs collègues à diffuser et signer leur appel.

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Un directeur pour plusieurs écoles ?

Etre un directeur « multi sites » est une situation assez fréquente dans l’enseignement catholique où le directeur d’école est un vrai chef d’établissement. ECA, la revue du Secrétariat général de l’enseignement catholique, revient sur ces directeurs dans son numéro de rentrée. Dans le Morbihan, deux chargés de mission à la direction diocésaine ont enquêté sur le s11 directeurs de 24 écoles privées du département. « On a trouvé des gens épuisés avec un rythme de travail de 70-80 heures de travail par semaine », écrivent-ils, tout en ajoutant qu’ils « vivent une expérience qu’ils perçoivent comme positive ». Ces directeurs multi sites « ont du mal à échanger avec leurs collègues de proximité ». Autre constat : il peut être nécessaire d’avoir un responsable sur chaque site, avec de vraies compétences et qu’il faut donc rémunérer…

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Guislaine David : Le travail collégial va être mis à mal par la loi Rilhac

Si la question des directeurs d’école divise les syndicats enseignants, le premier syndicat des professeurs des écoles, le Snuipp Fsu, a bataillé contre la loi Rilhac. Après son adoption par l’Assemblée, quels consignes le syndicat va t-il donner ? Comment explique t-il la mobilisation insuffisante des enseignants qui avaient pourtant obtenu le retrait du projet Rilhac en 2019 et 2020 ? Guislaine David, co-secrétaire générale du Snuipp Fsu fait le point.

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Pour le Se-Unsa la loi Rilhac est « globalement positive »

 » La proposition de Loi Rilhac donne une impulsion positive pour obtenir les moyens d’assurer la fonction de directrice ou directeur au bénéfice de toute l‘école. Néanmoins, c’est dans les textes réglementaires à suivre et le budget que cette volonté peut se traduire concrètement. Le SE-Unsa continuera d’agir pour que l’impulsion politique de cette loi soit bien suivie d’effets sans être déformée », écrit le Se Unsa. Le syndicat estime positif la reconnaissance d’une autorité fonctionnelle et el fait que  » le directeur est reconnu comme pilote pédagogique de l’équipe ».  » La proposition de loi Rilhac créant la fonction de directrice ou de directeur d’école a le mérite de mieux reconnaître cette mission et de vouloir donner les moyens de l’exercer. Elle permet certaines avancées qui pourront faciliter le quotidien des directrices et directeurs : PPMS, élections des représentants des parents d’élèves, référents direction, formation, avancement accéléré… Elle reconnaît le directeur comme pilote pédagogique d’une équipe et ne fait pas de lui un supérieur hiérarchique…. Les directrices et directeurs attendent que leurs attributions soient mieux affirmées et d’avoir les moyens de les exercer. Ils ont besoin de temps et d’un secrétariat pour le faire ».

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Loi Rilhac : Des chefs d’établissements demandent aussi le vote électronique

« Si l’article 5 (de la loi Rilhac) est maintenu dans la version définitive de la loi en autorisant le vote électronique pour les élections de parents d’élèves au primaire, il deviendrait incompréhensible que cette mesure de simplification ne s’applique pas dans le secondaire ». Le Snpden Normandie , un syndicat de personnels de direction, demande dès maintenant l’extension au 2d degré d’une mesure de la loi Rilhac : faire voter els parents par vote électronique. Cela simplifierait bien les choses. Mais la situation est très différente dans le 2d degré où il y a le plus souvent plusieurs listes ce qui n’est aps le cas dans le 1er degré. D’autre part, lors du débat à l’Assemblée, M Larive (LFI) a rappelé que 15% des parents n’utilisent pas Internet. Ils seraient donc exclus de la vie scolaire alors que ce sont souvent ceux que l’on a du mal à faire venir dans les écoles et établissements.

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Politiques éducatives

A Toulouse aussi, la mixité sociale au collège réussit à tous

La mixité sociale dans les collèges c’est bon pour tous les élèves. Une nouvelle démonstration vient d’être faite en Haute-Garonne où Georges Méric, président (PS) du conseil départemental de Haute-Garonne, a présenté le 6 octobre le premier bilan d’une politique volontariste conduite depuis 2016. La première cohorte d’élèves venus du quartier défavorisé du Mirail à Toulouse et scolarisés dans 11 collèges favorisés de l’agglomération entre en seconde. Ses résultats au brevet sont nettement meilleurs. L’orientation des élèves aussi. Pour cela il a fallu l’obstination du conseil départemental. Et, il faut le souligner, le soutien sans faille de l’Inspection académique depuis 2017.

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Le Sénat demande le gel des suppressions d’emplois dans l’enseignement agricole

« Si on passe à l’Education nationale ce sera le pot de terre contre le pot de fer ». Nathalie Delattre (RDSE) et Jean-Marc Boyer ont présenté le 5 octobre un rapport sur l’enseignement agricole en forme de plaidoyer. Les rapporteurs demandent un « nouveau projet stratégique » pour l’enseignement agricole et le gel des suppressions de postes dès 2022. Faisant l’impasse sur le développement du privé hors contrat et sur la concurrence du privé sous contrat, les rapporteurs ont rendu l’Education nationale responsable de la crise de l’enseignement agricole. Notamment la réforme du lycée qui ne serait qu’une « opportunité pour Bercy d’économiser des emplois ».

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Tribune : Yannick Trigance : Réforme de l’éducation prioritaire: place au privé !

Secrétaire national du PS pour l’éducation, Yanncik Trigance réagit à l’ouverture de l’éducation prioritaire à l’enseignement privé.

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Covid

Covid : Tests, vaccins et nouveau protocole

Décidément les tests sont au centre des débats sur le covid à l’école. Les chiffres de la semaine montrent qu’ils stagnent et restent très éloignés des 600 000 promis par le ministre pour la rentrée. Alors que le nombre de classes fermées continue à baisser, le ministère fait connaitre les 10 départements qui n’appliqueront plus la règle de la fermeture de classe dès le 1er cas de covid. L’éducation nationale baisse la garde.

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La nouvelle carte des niveaux sanitaires

Comme annoncé, le ministère a mis à jour sa carte des niveaux d’application du protocole sanitaire et fait passer en vert les 21 nouveaux départements (Hautes-Alpes, Aube, Haute-Corse, Doubs, Eure-et-Loir, Haute-Garonne, Gironde, Ille-et-Vilaine, Lot, Lot-et-Garonne, Nord, Oise, Puy-de-Dôme, Pyrénées-Atlantiques, Hautes-Pyrénées, Pyrénées-Orientales, Bas-Rhin, Savoie, Territoire de Belfort, La Réunion, Mayotte). Dans ces départements, les écoliers pourront retirer le masque en classe lundi 11 octobre. Les collégiens et lycéens doivent le garder. Les adultes aussi.

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Politique ministérielle

Blanquer veut rapprocher école et entreprises dès la 4ème

« C’est toute une série d’expériences dès la classe de 4ème qui doivent exister dans le futur et c’est l’objet de ces rencontres, permettre à ces deux mondes de se rencontrer ». Le 7 octobre, JM Blanquer ouvre la première « Université école – entreprise » en présence de nombreux patrons. Sur BFM, le 6 octobre, il a annoncé des expérimentations en 4ème. On sait que jusqu’à maintenant le stage en entreprise a lieu en 3ème. Il pourrait donc annoncer de nouveaux stages. Il annonce aussi des partenariats entre entreprises et lycées professionnels. Ces partenariats existe déjà. Mais peut être le ministre envisage t-il de faire entrer davantage les entreprises dans les lycées.

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L’enseignement agricole contre la réforme du bac pro

« Nous continuons de penser que le calendrier de cette réforme n’est pas tenable : une consultation bâclée (amorcée pendant l’été), désorganisée, une absence de documents majeurs (grilles horaires par exemple) et dans laquelle il manque trop de mentions des savoirs à enseigner. Si des évolutions sont à noter notamment pour le module MG1, nous souhaitons que nos demandes légitimes soient entendues sur des éléments de contenu et d’organisation du diplôme. Nous demandons qu’une vraie concertation, avec du temps, se mette en place », écrivent les syndicats de l’enseignement agricole public SEA Unsa, FO, Snetap Fsu et Cgt. « La méthode choisie et imposée démontre son inefficacité. La réforme doit s’arrêter pour repartir sur des bases concertées et collectives, dans l’intérêt des élèves. »

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Un mini programme pour la mixité de genre dans les filières

Le ministère de l’éducation nationale a dévoilé le 6 octobre un « plan d’actions en faveur de la mixité filles / garçons ». « L’objectif est d’atteindre dans tous les enseignements de spécialités d’ici 5 ans un taux de 30% minimum de mixité ». Un objectif à 5 ans dans l’éducation nationale cela signe déjà des ambitions peu soutenues. Ce que confirme le détail : le ministère souhaite atteindre l’objectif par « l’information des élèves de 2de » et une éventuelle révision des programmes « en s’assurant qu’ils intéressent autant les filles que les garçons ». Une bourse de l’égalité sera crée pour encourager les filles en SI, NSI et STI2D et les garçons en LLCER, HLP ou ST2S. Et c’est cela qui est le plus frappant : cette politique de mixité des genres ne concerne que le lycée générale et technologique alors que le clivage est encore plus fort dans les filières de l’enseignement professionnel : 0.5% de filles parmi les 2000 élèves du CAP génie climatique, 96% de filles dans les 5000 élèves du cap travail social, 3% de filles parmi les 22 000 bac pro mecanique électricité, 3% parmi les 24 000 mécanique auto, 90% parmoi les 65 000 sanitaires sociaux etc.

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Pour la FSU, la suppression de l’Inspection générale est au détriment de l’intérêt général

« L’administration d’un service public en démocratie nécessite des évaluations et des expertises objectives et indépendantes. Les changements statutaires qui viennent d’être annoncés pour les inspectrices et inspecteurs généraux menacent une telle indépendance: la fonctionnalisation de leurs emplois et ses conséquences sur les carrières, le changement des procédures de nomination et ses risques de clientélisme, le décloisonnement des missions et la relativisation de l’expertise professionnelle qu’il produira, risquent d’asservir les missions des inspectrices et inspecteurs généraux aux volontés immédiates du gouvernement. Cela se fera aux dépens de l’intérêt général et des missions de service public », écrit la Fsu.

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L’éducation nationale reconnait les droits des élèves transgenres

C’est une date à cocher. La circulaire du 29 septembre reconnait les droits des élèves transgenres et fixe des règles à peu près claires protégeant leurs droits. C’est une mesure qui serait totalement positive et même courageuse si elle ne soumettait les droits de ces jeunes à l’autorisation parentale. Ce qui est quand même une façon de ne pas les reconnaitre totalement. Cependant il ne sera pas évident de faire appliquer ce texte dans les établissements même avec ses restrictions.

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Elèves transgenres : L’avancée est-elle suffisante ?

Si le Se-Unsa « approuve sans réserve » les principes de la nouvelle circulaire sur les élèves trans, ce n’est pas le cas de Sud éducation. Pour ce dernier soumettre la reconnaissance des droits des élèves trans à l’accord des parents est problématique.

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Métier enseignant

Premier degré : Sud éducation obtient en justice que les postes en classe dédoublée ne sont pas à profil

Hiérarchique 0. Collégial 1. Alors que le ministre tente d’imposer la hiérarchie dans les écoles avec la proposition de loi Rilhac, Sud éducation détricote le travail ministériel. Le syndicat de l’Hérault a obtenu en justice l’annulation de la procédure de sélection des enseignants des classes dédoublées. La Cour d’appel administrative de Marseille a tranché : les postes des classes dédoublées ne sont pas des postes à profil. L’affectation sur ces postes doit suivre le cours ordinaire. En commençant par le respect de la démocratie à l’intérieur de l’école, exercée par le conseil des maitres. « A l’avenir, le conseil des maîtres devrait redevenir le lieu de répartition de tous les niveaux de l’école ».

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Les établissements invités à commémorer l’assassinat de Samuel Paty le 15 octobre

Dans un courrier envoyé aux recteurs le 6 octobre, JM Blanquer « souhaite que dans chaque école et chaque établissement scolaire, un hommage soit rendu à Samuel Paty à la fois par les personnels et les élèves. Les écoles et établissements pourront organiser un temps de recueillement en mémoire de S Paty et consacrer une heure de cours du vendredi 15 octobre à un temps d’échange dont le contenu sera laissé au choix des équipes… Ce temps pourra notamment prendre la forme à partir du cycle 3 d’une séquence sur la construction de l’esprit critique ainsi que sur le métier de professeur ». Dans la forme, cette lettre laisse donc une totale liberté aux enseignants et aux équipes, même si les précisions soufflent le contraire. Par respect pour la victime, les enseignants pourront commencer par la phase de débat avant la phase de recueillement pour lui donner du sens. La forme de la lettre peut donner à penser que le ministère a saisi l’erreur qu’il a faite en 2020 en ne laissant pas les enseignants préparer entre eux l’hommage nécessaire à S Paty. Cet hommage avait été suivi de dérapages : arrestations d’écoliers, signalements sans suite qui ne sont pas la meilleure façon de rendre hommage à la victime. Le dossier du Café rappelle comment les enseignants ont travaillé avec leurs élèves cet acte horrible.

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Autoévaluation des établissements et obligations de service

« La profusion de documentation diffusée depuis la création du « conseil d’évaluation de l’école » (Loi « confiance » de juillet 2019) pourrait laisser penser que les personnels sont impliqués de fait dans le processus local qui devrait conduire, sur 5 ans, tous les établissements à être évalués, via une « autoévaluation » suivie d’une « évaluation externe » . En réalité, il n’en est rien : aucune disposition réglementaire ou législative ne permet d’imposer la participation des collègues à un processus qui a certes, pour objectif final de contraindre l’exercice de leurs missions en alimentant le projet d’établissement et le contrat d’objectifs, mais dont les modalités, le calendrier et les étapes n’ont pas de fondement juridique … », écrit le Snes Fsu de Lille. « La mise en place éventuelle d’un « comité de pilotage » et de commissions ou GT thématiques, suggérée pour engager les équipes dans la démarches n’est pas obligatoire, et la participation des collègues ne relèvent que du volontariat. »

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Billy-Montigny : La misérable guerre de Bruno Troni contre les professeurs

Près des trois quarts des enseignants de Billy-Montigny, une commune du Pas de Calais , ont manifesté le 29 septembre à l’appel du Snuipp 62. Le motif est simple : depuis 5 mois ils sont traités de façon inhumaine et indigne par le maire (PCF) de la commune. Ils ont l’interdiction de déjeuner dans les locaux scolaires. Pour Bruno Troni :  » Ce n’est pas à nous d’organiser la restauration du personnel de l’Éducation nationale. Ils peuvent très bien rentrer chez eux, c’est ce que font les employés des services municipaux ». Cette interdiction a pour effet selon le Snuipp 62 que depuis maintenant 5 mois, les enseignants prennent leur déjeuner chaque jour sur le trottoir, sur des bancs publics ou dans leur voiture, par tous les temps et sous le regard de leurs élèves. Un enseignant a du aussi porter plainte contre le maire, celui-ci l’ayant agressé verbalement devant ses élèves. Pour le Suipp 62, « la souffrance des personnels est palpable ». L’interdiction de pénétrer dans les locaux scolaires en dehors des heures de cours pénalise les apprentissages des élèves car les enseignants préparent normalement leur matériel et leurs cours en classe.  » Il n’est pas envisageable que la situation s’éternise à l’approche de l’automne sans que des solutions n’aient été trouvées pour garantir la santé et la sécurité des personnels dans les écoles de Billy-Montigny », écrit le Snuipp 62 le 2 octobre à la sénatrice du Pas de Calais et aux maires de la communauté d’agglomération. Il est incompréhensible et inadmissible qu’un maire puisse continuer à traiter comme des chiens ceux qui ont en charge d’éduquer les enfants de sa commune.

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Etats-Unis : Les racistes font la loi dans des écoles

Selon Edweek, 12 états américains ont fait passer des lois qui limitent le droit d’enseigner les sujets en lien avec le racisme. Ainsi en Oklahoma, la loi interdit aux enseignants de parler librement du racisme. Dans le New Hampshire ils ne peuvent plus enseigner librement des sujets traitant du racisme ou du genre. Dans le Tennessee le sexisme est lui aussi mis à l’index. Partout ce sont des majorités républicaines qui sont à la manoeuvre. Sous prétexte de dénoncer la théorie critique de la race, un peu ce qu’on appelle ici le wokisme, ces législations pèsent sur les enseignants. Selon EdWeek, Emily Kirkpatrick, secrétaire générale du Conseil National des professeurs d’anglais, des auteurs enseignés depuis des années sont maintenant contestés. Son organisation a établi une liste qui réunit une partie d ela littérature afro américaine et aussi des livres qui ne traitent pas du tout du racisme. La chasse au « wokisme » a gagné l’école et la chasse aux sorcières commence par les livres et les salles de classe.

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Le calendrier des examens

Le BO du 30 septembre publie le calendrier des examens 2022, en espérant qu’ils puissent se tenir normalement. Le brevet aura lieu les 30 juin et 1er juillet, soit un peu plus tard qu’en 2021 (28 et 29 juin). Les épreuves de spécialité des bacs généraux et technologiques auront lieu du 14 au 16 mars. Les épreuves de philosophie sont fixées au 15 juin matin et l’EAF au 16 juin après midi (17 juin en 2020). Le grand oral aura lieu du 20 juin au 1er juillet, les épreuves de compétences expérimentales du 22 au 25 mars. La remontée des notes dans Parcoursup est fixée au 8 avril. Les épreuves du bac professionnel auront lieu du 14 au 16 juin (français hist geo PSE éco gestion, arts) et les 23 et 24 pour les langues.

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