Parmi les idées reçues sur les langues, on retrouve régulièrement l’idée selon laquelle les Français seraient mauvais en langues étrangères. La contrepartie de cette idée reçue est qu’il y aurait des individus (voire des nations) bénéficiant d’un don en langues étrangères (et d’autres non). Or, si certains semblent se prévaloir de ce don, qu’en est-il réellement ? Pourquoi l’idéologie du don des langues étrangères est-elle plus néfaste que bénéfique quand il s’agit de penser le rôle de l’école ?
Un article de The Conversation à lire ici