| | Fcpe : "Les Dasen mettent le cirque !" | |
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| | SommaireLa rentrée est moyennement réussie estime la FCPE. Paul Raoult, président de la première association de parents d'élèves a fait un premier bilan contrasté de la rentrée le 26 septembre. Pour les parents, le manque d'enseignants est encore un problème sérieux à certains endroits, comme le 93, et dans certains niveaux, comme la maternelle. La FCPE souligne aussi les difficultés dans la mise en place de la réforme des rythmes. Pour elle l'éducation nationale y a sa part, particulièrement les Dasen, incapables de jouer la concertation. | | | Quelle place pour les parents à l'école ?A deux semaines des élections des délégués des parents d'élèves, force est de constater l'écart de traitement entre parents et élèves au sein de la co-éducation voulue par la loi d'orientation. Alors que l'éducation nationale entreprend la première grande campagne pour les élections lycéennes, rien ne se passe pour celles des parents d'élèves. Font-ils plus peur que les lycéens ? | | | Relations parents et établissements : L'enquête est ouverteAlors que la loi d'orientation institue la co-éducation associant établissements scolaires et parents d'élèves, l'Observatoire international de la violence à l'école s'associe au SNPDEN, le premier syndicat des personnels de direction, pour enquêter sur l'état des relations avec les parents et l'évolution des partenariats. | |
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| | | Semaines de l'engagement lycéen : A quoi vous attendre et qu'en penser ? | |
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| | SommaireA partir du 30 septembre, les lycées doivent organiser les "Semaines de l'engagement lycéen". Fortement soutenu par la ministre de la réussite éducative, ces Semaines doivent se traduire dans chaque lycée par des cours. Mais pour quoi faire ? George Pau-Langevin et Philippe Tournier, secrétaire général du principal syndicat des personnels de direction, ne sont pas d'accord sur les finalités. | |
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| | Stéréotypes et violences de genre à l'école : Comment sortir de la « matrice » ? | |
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| | SommaireL’impact des violences liées au genre à l'école est-il surestimé ? Exagère-t-on le poids des injures et des brutalités subies par les élèves qui ne sont pas conformes à ce que « doit » être une fille ou un garçon ? Les adversaires des études de genre soulignent l'importance des normes communes construites, pour maintenir l'ordre social. Mais la journée d'études internationales « Violence(s) et genre à l'école », organisée par la société Léon-Binet en partenariat avec la Délégation ministérielle chargée de la prévention et de la lutte contre les violences en milieu scolaire, pose une autre question : quand les normes convenues jouent les lits de Procuste, mutilant les personnalités et provoquant les inégalités, faut-il encore les cultiver ? Présentée par Florence Robine, Rectrice de l'Académie de Créteil, et Bernard Andrieu, Président de la Société Simon-Binet, et clôturée par Eric Debarbieux, Délégué ministériel, la journée d'études s'est tenue à l'UPEC de Créteil le jeudi 10 octobre. | | | « Méditer sur l'exubérance de la sexualité ! »Annie Léchenet, professeure de philosophie à l'ESPE de Lyon, a participé à l'étude « Pratiques genrées et violences entre pairs : une recherche sur les enjeux socio-éducatifs de la mixité au quotidien en milieu scolaire ». Une approche pluridisciplinaire, fondée sur des entretiens et l'immersion d'étudiants dans des établissements différents (près de 900h d'observation), qui interroge la fonction sociale et psychique du recours massif aux stéréotypes de genre et la réponse adulte par la transmission de modèles hétéro normatifs. | |
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| | | Orientation : Les classes préparatoires | |
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| | SommaireComment choisir une prépa ? Où s'inscrire ? Quelles conditions remplir ? | |
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