| | Loi Blanquer : Le compromis final tient compte de la mobilisation enseignante | |
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| | Sommaire"La commission mixte paritaire est conclusive donc on a trouvé un bon accord". La formule du député Alexandre Freschi (LREM) résume la facilité avec laquelle les deux chambres qui avaient rendu des projets de loi aussi différents ont finalement trouvé un accord le 13 juin. Négocié en amont par le rapporteur du Sénat, Max Brisson, et la majorité, l'accord des deux chambres a été trouvé en moins de 4 heures. Au final, le texte initial est largement modifié et tient compte de la contestation enseignante. L'EPSF n'est pas réapparu. L'autorité du directeur d'école, l'annualisation des services enseignants , la formation obligatoire sur temps libre sont supprimés. La loi institue une formation continue obligatoire pour les enseignants du second degré sur temps scolaire, une situation que l'Éducation nationale n'a jamais réussi à faire vivre jusque là. | | | Loi Blanquer : L'école à deux vitesses instituéeBlanquer socialiste ? Probablement pas. Mais face aux amendements de la majorité de droite du Sénat, le ministre se positionne à gauche et joue avec ça. Pourtant la loi Blanquer ramène une conception de l'École très droitière. Le 16 mai, le Sénat a adopté la création des EPLEI, c'est à dire le retour des petits lycées, scolarisant les enfants des meilleures familles à part de la maternelle à la terminale. Il pérennise les jardins d'enfants comme une alternative à la maternelle. L'École française était marquée par les inégalités sociales. Au soir du 16 mai elle est divisée entre École du peuple et École des classes privilégiées. | | | EPSF : La liaison école collège n'est pas une affaire de structure"L’existence d’ensembles scolaires communs premier et second degré ne jouerait pas un rôle significatif sur la qualité de la continuité école ‐ collège, qui à ce jour, se limite, dans la grande majorité des établissements concernés, à des échanges à faible impact sur la continuité des apprentissages". En 2016, l'Inspection générale lançait une réflexion sur la liaison école collège, confiée à Marie-Hélène Leloup et Pierre Lussiana. Leur rapport voulait aller au fond des choses pour comprendre pourquoi c'est si difficile d'assurer une transition heureuse entre ces deux niveaux scolaires. Trois ans plus tard, alors que la loi Blanquer veut imposer les établissements publics des savoirs fondamentaux (EPSF) pour faciliter cette transition, un retour sur leurs conclusions s'impose... | |
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| | | Grève du bac : La stratégie du pire | |
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| | SommaireLa grève du bac peut-elle réussir ? Si globalement la plupart des 1 280 000 candidats des 4 635 centres d'examen peuvent composer le 17 juin, le mouvement s'annonce plus important que prévu. En refusant tout dialogue avec les syndicats et en tenant des propos provocants, le ministre pousse une partie des enseignants vers la radicalisation. Au final ce sont bien les candidats qui vont payer le prix de cette politique. | | | Grève du bac : Blanquer et le K.O."Je garantis que tous les élèves auront leurs résultats demain matin". JM Blanquer a opté pour l'extrême fermeté le 4 juillet face aux grévistes du bac. Il les menace de sanctions et de retenue sur salaire. Le ministre nie les difficultés pourtant bien réelles apparues ce jeudi 4 juillet dans les jurys. Pour JM Blanquer ce chaos n'est qu'un mensonge diffusé par la presse. A la veille des vacances, le ministre mise sur la volonté de la population d'un retour à l'ordre et veut mettre les enseignants qui osent le défier K.O. | | | Frédérique Rolet : Des réformes construites contre les personnels ont peu de chance de s'appliquerÀ deux semaines du début du bac, qu'est ce qui motive plusieurs syndicats à tenter une grève des examens ? Frédérique Rolet dirige un des syndicats (Snes Fsu, Snuep Fsu, Snetap Fsu, Cgt, Sud, Snalc, Sundep, Cgc) qui ont lancé cet appel avec les stylos rouges et la Chaine des bahuts. Elle explique pourquoi cette mobilisation se construite. Et rassure les élèves et leurs parents : " Nous n'allons pas bloquer les examens". | | | Bac : Une fraude plus massive qu'annoncéLe ministère a-t-il délibérément minimisé la fraude du bac pour ne pas reporter les épreuves ? La question est posée après les révélations de l'administrateur du forum du site TI-Planet. | | | "Louise", animatrice de "Bloquons Blanquer"..."Louise" n'existe pas. C'est le pseudonyme choisi par l'une des deux jeunes enseignantes franciliennes qui animent le site "Bloquons Blanquer". "Louise " n'a pas peur d'être reconnue. Mais, très militantes, les deux professeures refusent toute mise en avant personnelle. Elles se concertent pour s'exprimer par l'artefact de ce personnage. A force de travail, elles ont fait du site "Bloquons Blanquer", créé en mars 2019 à la suite d'une AG parisienne, l'étendard de la révolte enseignante contre la politique menée par JM Blanquer. De quoi rendre jaloux les syndicats et amer le ministre. Comment une simple professeure réussit-elle ce tour de force ? Comment gère-t-elle une influence avec laquelle le pouvoir doit compter ? | |
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| | | Politique : 1400 postes non pourvus aux concours 2019 | |
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| | L'articleJM Blanquer est peut-être "le ministre des professeurs", il n'est pas celui de leur recrutement. Près de 1500 enseignants vont manquer à la rentrée. La crise du recrutement des enseignants connaît une accélération sans précédent en 2019. Le ministère a beau réduire fortement le nombre de postes offerts, il arrive de moins en moins à trouver le nombre d'enseignants fixés. Les concours de 2019 montrent une dégradation rapide du recrutement aussi bien dans le premier que dans le second degré. Une situation qui n'arrive pas par hasard. Le gouvernement veut augmenter la nombre de contractuels, pas celui des fonctionnaires. | |
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| | | Territorial : Quand le socle disparaît au profit des fondamentaux : JM Blanquer réorganise le ministère | |
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| | SommaireUn décret et son arrêté d'application publiés au JO du 30 juin réorganisent le ministère de l'éducation nationale. De ce jeu de tiroirs administratifs résulte la mise en sommeil du socle commun au bénéfice des savoirs fondamentaux et une modification en profondeur de la Direction du numérique pour l'éducation. | | | Les nouveaux territoires de l'ÉcoleL'espace est-il une dimension importante pour l'École ? On a souvent analysé l'École dans une optique sociologique. Administration & Éducation, la revue de l'AFAE (n°162) jette un nouveau regard en lisant l'École dans une optique spatiale et en jouant sur les échelles. Il est question des micro espaces, ceux de la classe et de l'école et de leur rapport avec les nouvelles politiques, comme la réforme des rythmes scolaires. Il est question aussi de la réforme territoriale de l'Éducation nationale et de ses rapports avec la réforme régionale. Entre ces deux échelles, la revue relit les politiques nationales là où elles s'appliquent. Poser la question des territoires de l'École c'est finalement interroger les inégalités et les politiques menées, ou non, pour les réduire. | | | Actualisez vos connaissances avec Fractures scolairesRéalisé par Rémi Rouault et Patrice Caro, deux professeurs de géographie de l'Université de Caen, le site Fractures scolaires réalise une mise à jour de l'excellent Atlas des fractures scolaires publié en 2010. Le contenu est accessible gratuitement et il est de grande qualité. | | | Réforme territoriale : L'Unsa Aquitaine claque la porte"L'UNSA Éducation a fait le constat que toutes les décisions étaient déjà actées par le Ministre. Aucune place n'a été laissée au dialogue social". Réunis le 4 juillet pour évoquer la réorganisation des rectorats dans le cadre de la réforme territoriale lancée par JM BLanquer, l'Unsa Éducation de la Nouvelle Aquitaine a claqué la porte. | |
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| | | Prioritaire : OZP : Un "effacement progressif" de l'éducation prioritaire | |
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| | Sommaire"On peut craindre un effacement progressif de l’éducation prioritaire dans le champ de l’action ministérielle", écrit l'Observatoire des Zones Prioritaires (OZP) dans un communiqué du 25 juin. "C’est le silence sur tout ce qui a fait le contenu de la refondation en 2013-2014 : le référentiel, la formation en REP+, le cycle 3 et la continuité écoles-collèges, l’entrée par la pédagogie et travail collectif etc. La refondation était fondée sur « l’entrée par la pédagogie » en rendant possible le travail collectif et la formation. Mais l’avalanche d’injonctions impose une pédagogie contraire à l’esprit du référentiel, des évaluations inspirées par une pédagogie rétrograde, une primarisation de la grande section qui pénalise les élèves les moins précoces". | | | Éducation prioritaire : Quatre questions à Marc DouaireLe 18 mai, l'Observatoire des zones prioritaires, une association d'acteurs de l'éducation prioritaire, tient ses journées nationales avec comme thème l'évaluation de l'éducation prioritaire. Pourquoi et comment l'évaluer ? Cette politique est-elle soutenue par le ministère ? Marc Douaire, président de l'OZP fait le point. | | | Marc Bablet : L'éducation prioritaire n'est plus pilotée"Depuis l’arrivée du ministre Blanquer, l’éducation prioritaire n’est plus pilotée. Il n’y a de communication que sur le dispositif des CP et CE1 dédoublés qui donnent lieu à une transmission d’instructions descendantes autoritaires comme on en a rarement vu", écrit Marc Bablet, ancien responsable de la question à la Dgesco. | | | Lancement des cités éducativesJM Blanquer et J Denormandie, ministre de la Ville, ont lancé le 2 mai les "Cités éducatives". "L’ambition des Cités éducatives n’est pas d’être un dispositif de plus mais l’occasion de mieux coordonner et renforcer les dispositifs existants", annonce le ministère. Les Cités sont d'abord "une grande alliance des acteurs éducatifs travaillant dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville : services de l’État, des collectivités, associations, habitants. À travers les Cités éducatives, le Gouvernement veut ainsi fédérer tous les acteurs de l’éducation scolaire et périscolaire, dans les territoires qui en ont le plus besoin et où seront concentrés les moyens publics"... | |
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| | | Baromètre des métiers de l'éducation : "Rupture de confiance" entre les enseignants et le ministre | |
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| | L'articleLes résultats du 7ème Baromètre UNSA des métiers de l'éducation ont été diffusés hier. Ils sont sans appel pour le ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer. L'hostilité à sa politique tout comme l'insatisfaction face aux conditions de travail et au manque de reconnaissance s'aggravent sensiblement en 2019. L'approbation des " choix politiques faits dans le secteur " accuse ainsi une chute de 10 points par rapport à 2018, passant de 20,8% à 10,4% parmi les personnels de l'éducation. Et chez les enseignants, ce taux n'est plus que de 6,5%... | |
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| | | Métier : Transformation de la Fonction publique : Les professeurs en première ligne | |
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| | SommaireQuelles sont douces les pires mesures sur les carrières des enseignants adoptées au Sénat ! L'assemblée nationale a terminé le 22 mai l'examen de la loi transformation de la Fonction publique. Or l'Éducation nationale fournit à elle seule la moitié des fonctionnaires d'État. Le texte met à plat le statut de fonctionnaire et prépare le généralisation de la contractualisation alors que le président de la République souhaite 120 000 suppressions de postes de fonctionnaires. Parmi les mesures adoptées en 1ère lecture signalons la fin du contrôle par les commissions paritaires de l'avancement et de la mobilité des agents, la généralisation de la contractualisation pour quasiment tous les emplois, l'évaluation du mérite par le supérieur hiérarchique direct avec effet salarial, la possibilité de rompre le contrat de fonctionnaire simplement, le détachement d'office dans une entreprise privée etc. | | | L'annualisation du service enseignant adopté au SénatLe Sénat a adopté le 25 juin l'amendement Brisson annualisant le service des enseignants. Le gouvernement a émis un avis défavorable à cet amendement qui ne devrait pas passer le cap de la commission mixte paritaire. | | | Carrière des enseignants : Osons la comparaison européenne...C'est une Note très originale que la Depp, division des études du ministère, publie le 4 juin. Elle est consacrée à "la carrière des enseignants en Europe". Nous n'avons pas retrouvé de Note antérieure sur ce sujet à la Depp alors même que la source, une étude européenne d'Eurydice, en est à sa troisième publication. Cet intérêt soudain pour la situation des enseignants dans les autres pays européens renvoie aussi aux politiques françaises... | | | Les enseignants sont-ils vraiment trop payés ?Qu'est-ce qui peut bien pousser Les Echos et Opinion Way à interroger les français sur le salaire des enseignants ? Alors qu'avec la grève des examens les enseignants prennent le risque de l'impopularité, ce sondage tombe à point nommé pour les montrer du doigt. Car quand on demande aux Français si leur voisin est assez payé, on est sûr de la réponse... | | | | | | Bilan social : Explosion des non titulaires et des démissionsLa publication du Bilan social de l'éducation nationale répercute avec un peu de retard les évolutions liées à la politique gouvernementale. Néanmoins, le Bilan 2019 souligne des orientations cohérentes avec la loi de transformation de la Fonction publique : la montée des contractuels et les départs "volontaires" des enseignants. Cette année comme les années précédentes l'éducation nationale n'évite ni les inégalités salariales ni celles de genre. | | | Jacques Vauloup : Il faut sauver le soldat CIO !Alors que des rassemblements des PsyEN et des personnels des CIO et de l'Onisep sont organisés nationalement le 18 juin, Jacques Vauloup, inspecteur en orientation, explique dans cette tribune pourquoi il faut sauver les CIO. | |
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| | | Primaire : La circulaire de rentrée et ses "recommandations" | |
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| | SommaireC'est tout un ensemble de documents concernant le premier degré et le collège que l'éducation nationale a publié en bloc le 29 mai. Signés par le ministre, il recadrent fortement les pratiques enseignantes. Ainsi le ministère publie des "attendus" pour chaque année d'enseignement de l'école et du collège. La circulaire de rentrée ne porte que sur le premier degré. L'école élémentaire voit les instructions données par JM Blanquer en 2018 reprises et renforcées. Mais c'est surtout l'école maternelle qui est nettement réorientée vers une instruction des fondamentaux dominée par la phonologie et le lexique. Des "recommandations" sur l'enseignement du langage, des nombres et des langues étrangères en maternelle complètent ce dispositif. | | | Pascale Garnier : Un tournant pour l'école maternelle« Symboliquement, cette circulaire de rentrée marque un tournant où l’école maternelle est consacrée comme lieu d’instruction ». Pascale Garnier, sociologue et professeure de sciences de l’éducation, a vu très tôt les implications pour l'école maternelle de l'obligation scolaire à 3 ans. Aujourd’hui, elle analyse la circulaire de rentrée 2019, largement consacrée à la maternelle. Et ce n’est pas rassurant. | | | Francette Popineau : Une circulaire qui formate les enseignants"Avec ces textes on va vers des enseignants qui ne seront plus des professionnels mais des exécutants". Pour Francette Popineau, secrétaire général du Snuipp Fsu, la circulaire de rentrée et les "recommandations" qui l'accompagnent sont un retour en arrière aux programmes de 2008. | | | | |
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| | | Primaire : Dédoublements : Un mauvais choix selon une étude | |
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| | SommaireEt si E. Macron et JM. Blanquer avaient choisi la mauvaise voie ? Selon une étude publiée par le Journal of the European Economic Association (N° de décembre 2018), l'utilisation d'un second professeur ou d'un assistant, ce qu'on appelle en France un maître +, a un impact très positif sur les résultats scolaires des enfants défavorisés. Cet effet a été évalué jusqu'à 30 mois après la fin du dispositif. Il est durable. Pour les auteurs, Simon Calmar Andersen et Helena Skyt Nielsen de l'Aarhus University, Louise Beuchert (VIVE) et Mette Kjærgaard Thomsen (université du sud Danemark), "l'utilisation d'un maitre + est au moins aussi efficace que la réduction de la taille des classes... | | | Macron : Des annonces efficaces et réalistes ?Que restera-t-il des annonces du président de la République du 25 avril ? Tirant ses conclusions du Grand débat, E. Macron a dévoilé des mesures importantes pour l’École : le dédoublement des classes de grande section de maternelle (GS), la limitation à 24 élèves par classe de la GS au CE1, l’arrêt des fermetures d’écoles et même la revalorisation des enseignants. Ces mesures répondent à des attentes des enseignants. Mais elles semblent incompatibles avec les politiques menées jusque là par le gouvernement. Dès maintenant la question du budget de l’Éducation nationale est posée. | |
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| | | Collège : JM Blanquer : Un nouveau brevet en 2021 | |
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| | SommaireInterrogé par la commission d'évaluation des politiques publiques de l'Assemblée nationale le 3 juin, le ministre de l'éducation nationale a surtout répondu à des questions sur son budget. Mais il s'est laissé aller à des annonces. La plus importante est une réforme du diplôme du brevet pour 2021. Le ministre a aussi promis que l'Observatoire de la rémunération des professeurs verrait le jour "avant la fin de cette année" | | | Mixité sociale dans les collèges : Beaucoup de projets, dans l'indifférence ministèrielle C'est un sujet, hier considéré comme brûlant, qui a complètement disparu des radars ministériels : la mixité sociale dans les établissements. Une vingtaine de projets, destinés à lutter contre la ségrégation, ont été lancés depuis 2017, encouragés par la ministre de l'Éducation nationale de l'époque, Najat Vallaud-Belkacem. Ils se poursuivent dans la plus grande indifférence officielle. La Mairie de Paris a eu la riche idée d'organiser un colloque le 17 mai dernier, intitulé " Pour plus de mixité sociale au collège ". Il a réuni chercheurs, élus locaux, membres de la communauté éducative, collectifs de parents..., tous impliqués dans des expérimentations. L'occasion d'échanger entre les acteurs et de se rebooster pour garder le cap alors qu'il n 'y a plus aucun pilotage national. | | | Choukri Ben Ayed : « La politique de mixité sociale doit être aussi portée par l’État »Choukri Ben Ayed, professeur de sociologie à l’université de Limoges, auteur notamment de « La mixité sociale à l’école » (Armand Colin, 2015) , a participé le 17 mai dernier à l’Hôtel de Ville de Paris, au colloque « Pour plus de mixité sociale au collège ». Il revient sur les expérimentations lancées pour favoriser la mixité sociale dans les collèges et lutter ainsi contre les inégalités, qui sont portées au niveau local alors que l’État semble s’en désintéresser. | |
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| | | Lycée : Le Grand Oral : Un rapport sur du vent ? | |
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| | SommaireCyril Delhay a remis à JM Blanquer son rapport sur le "grand oral" retenu pour le prochain baccalauréat. Cet enseignement évalué à l'examen final reste dépourvu de tout horaire et même, souvent, de professeur capable d'y préparer. Cyril Delhay propose des solutions qui semblent peu susceptibles de devenir réalité, comme dédier une heure des enseignements de spécialité, qui ont déjà des programmes chargés, à l'enseignement de l'oral. | | | Professionnel : Postes et textes officiels600 postes supprimés à la rentrée en enseignement professionnel - Stages en entreprise : La réglementation modifiée - Les horaires des classes prépa métiers publiés - Les familles de métiers en 2de pro - Enseignement agricole : Grilles horaires de la 4ème à la 2de | |
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