Des écoles dont les enseignants sont payés par l'Etat et qui bénéficient des versements des collectivités territoriales peuvent-elles appartenir à des groupes d'investisseurs ? Dans Libération, Marie Piquemal montre que oui. Quatre établissements parisiens appartiennent à un groupe espagnol tout en bénéficiant de l'aide publique. Ils prélèvent des frais de scolarité très élevés. Ce bel exemple de privatisation de l'Ecole est nettement plus répandu dans le supérieur, comme le montre cet article. Le soutien massif à l'apprentissage a créé un appel d'air pour de nombreux investisseurs internationaux.
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