Les gènes sauteurs sont des séquences d’ADN capables de s’insérer dans le génome, représentant 60 %. Parmi ces gènes transposables, les L1, les plus actifs, composent près de 20 % de notre génome et peuvent influencer le développement de maladies comme le cancer ou le vieillissement. Une étude récente décryptée sur le site de l’Inserm montre une régulation complexe de leur activité qui est influencée par le type cellulaire et leur position dans le génome. Les recherches futures pourraient exploiter ces découvertes à des fins thérapeutiques comme l’élimination des tumeurs.