Une équipe de chercheurs de l’Inserm de Grenoble a révélé de nouvelles informations sur la reproduction du parasite Toxoplasma gondii, à l’origine de la toxoplasmose, infection parasitaire parfois étudiée en seconde. En étudiant un modèle in vitro, les chercheurs ont identifié des protéines clés, dont MORC, qui régulent le cycle sexué du parasite. « Nous allons pouvoir trouver de nouvelles molécules qui ciblent les protéines présentes dans la forme sexuée du parasite chez le chat pour lutter contre la transmission de la toxoplasmose à l’humain », souligne Mohamed-Ali Hakimi dans cet article publié sur le site de l’Inserm.