En principe, le vote électronique doit simplifier l’élection et rendre le scrutin plus accessible. Dans un métier comme celui d’enseignant où l’ordinateur n’est pas l’instrument du travail quotidien, ce n’est évidemment pas le cas. Et c’est pire quand l’informatique ne suit pas. Cette année par de panne générale. Mais dès la première journée, la procédure de réassort, celle qui permet de récupérer son code si on ne l’a pas reçu, ne fonctionne pas. Conséquence : le scrutin a été interrompu dans la nuit du 1er au 2 décembre pour faire redémarrer toutes les machines…
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