« Pour pouvoir expérimenter, à la rentrée 2023, la réforme Macron, des établissements ont été sélectionnés d’office sous couvert d’un accord en catimini avec les chef·fes d’établissement et quelques enseignant·es trié·es sur le volet », affirme la CGT éducation dans un communiqué. « Là encore, il s’agit d’imposer, par l’expérimentation, une réforme que les personnels ont largement refusée lors des deux journées de mobilisation exceptionnelles du 18 octobre et du 17 novembre ».
