« Alors que certains prétendent qu’ils sont bénéfiques, d’autres sont d’avis qu’ils causent plus de tort que de bien. ». L’université du Québec à Montréal interroge la pertinence des devoirs à la maison. Une réflexion qui renvoie à un avis du Conseil supérieur de l’éducation du Québec qui refuse toute position idéologique. « Les devoirs ont leurs avantages et leurs inconvénients, et l’opportunité d’en donner ou non ne saurait découler d’une position idéologique in abstracto. La question des devoirs doit être examinée en contexte, en tenant compte de la réalité des élèves et des familles et en s’attachant aux enjeux d’équité qu’elle soulève. » Une position très concrète qu’iln’est pas inutile de (re)découvrir…
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