« Il
n’y a pas de sikh sans turban ». Dans trois lycées de Seine Saint-Denis
des jeunes sikhs ont vu leur rentrée différée en raison de l’application de
la loi sur le voile. Si la presse n’évoque qu’une centaine de cas d’élèves,
sikhs ou non, retirés des cours, combien ont pris l’initiative de rompre
avec l’Ecole ?
Dépêche AFP