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« Au moment où Fillon tombe en disgrâce, où le dispositif qu’il avait mis en place pour imposer coûte que coûte sa loi, est au moins ajourné par son successeur, il serait inconvenant que les lycéens restent les otages de cet ex-ministre  » de combat « . Après les lourdes condamnations en province et à Paris de lycéens arrêtés dans les manifestations contre la loi Fillon, le Collectif de soutien aux victimes de la répression du mouvement lycéen demande au gouvernement un « geste d’apaisement ».
Contact : comite.soutien@laposte.net