Selon l’AFP, le gouvernement chinois vient de censurer trois nouveaux sites qui avaient l’audace de transmettre des informations sur les mouvements sociaux dans le pays. Ce nouveau pas dans la répression vient après la condamnation le 22 septembre à 7 ans de prison pour délit d’opinion d’un enseignant cyber-dissident.
Dépêche AFP
Rappel : L’Expresso du 27 septembre