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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

En Ile-de-France, des clés contre la fracture

ÉDITORIAL

CPE : Un métier social ?

LE SYSTEME

Financement de l’éducation : les inégalités mondiales persistent l Sarkozy et l’Ecole : déclarations et décryptage l Primaire : les instits et les heures supplémentaires l Afrique del’ouest : c’est la rentrée !

L’ÉLÈVE

Des parents portent plainte contre une instit

CITOYENNETE

L’amendement ADN entrera-t-il en vigueur ?

LES DISCIPLINES

Primaire : Le Nouvel Educateur reparaît avec un numéro sur les maths l Français : Littérature et socle commun : quelle continuité école – collège ? l Sciences : L’Europe condamne le créationnisme l L’histoire-géographie au lycée professionnel : de l’utilité de l’ECJS… l Géographie : Souvenir de Saint Dié

LES TICE

Enseigner l’informatique pour mieux l’enfermer ? l Failles dans Quick Time et Java Run Time

Le fait du jour

En Ile-de-France, des clés contre la fracture

«  L’intérêt des éducateurs pour la clé USB est étroitement lié à la notion de fracture numérique » écrit Serge Pouts-Lajus dans l’éditorial du Café pédagogique francilien. « On sait que les lycéens, ne possèdent pas tous un ordinateur personnel, loin s’en faut. La clé ne se substitue évidemment pas à un tel outil de travail mais elle permet de transporter avec soi les fichiers et les applications qui composent généralement l’espace de travail sur un ordinateur personnel. Grâce à ce « bureau mobile », chaque poste informatique que le détenteur de la clé croise peut alors instantanément devenir son ordinateur personnel. Belle revanche pour celui qui est privé d’un tel équipement. Cette démarche rappelle un peu le fameux Vélib parisien qui fait passer en douceur et de façon non contraignante d’un dispositif basé sur la propriété individuelle à la mise en commun d’un bien collectif ». Alors que le Conseil régional d’Ile-de-France distribue officiellement ce 8 octobre 175 000 clés usb aux lycéens de seconde et aux apprentis, le Café francilien présente ce nouvel outil et en montre les potentialités.

C’est que la clé francilienne est un véritable bureau portatif, doté d’une suite bureautique libre et d’un site d’accompagnement destiné aux lycéens et apprentis.

C’est aussi l’occasion de revenir sur les autres clés en lien avec l’enseignement Et d’abord bien sûr les clés du ministère délivrées en septembre à certains néotitulaires. Mais aussi les clés données par d’autres collectivités locales. Sans oublier les clés inventées par des profs de terrain comme la Suite portable en histoire-géographie.

C’est dire que le Café francilien montre que l’initiative régionale n’est pas gagnée d’avance. Il faudra que les enseignants s’emparent à leur tour de cet outil. Et là nous comptons sur vous pour nous le dire.

Le Francilien

Le site d’accompagnement

N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite).

Pour pouvoir réagir, il faut préalablement s’être inscrit sur le site et être identifié. À très vite !

CPE : Un métier social ?

C’était en 1970, deux ans après mai 68. Un décret créait le corps des Conseillers principaux d’éducation, en lieu et place des surveillants généraux. Car, déjà, les CPE se trouvaient au cœur des changements qui touchaient les établissements secondaires et les jeunes français. 37 ans plus tard, les CPE restent une particularité du système éducatif français. Et le Cereq les interroge sur leur singulier métier.

Drôle de métier en effet puisqu’il est éducatif sans être disciplinaire, qu’il vise l’ordre et l’épanouissement du jeune, qu’il s’inscrit dans les responsabilités de la direction tout en se tenant à part. L’étude du Céreq souligne ces singularités. « Le métier de conseiller principal d’éducation est en redéfinition permanente » écrit le Cereq. « Ses fonctions se sont fortement renouvelées sous l’effet des transformations sociales et scolaires. La façon de le mettre en œuvre varie selon l’établissement et la qualité du cadre partenarial. Au quotidien, les CPE sont souvent conduits à accomplir dans l’urgence des tâches qui ne relèvent pas de leur champ de compétences mais d’un travail que les autres professionnels de la communauté éducative ne peuvent ou ne veulent assumer ». Ce que montre l’étude du Cereq c’est la grande variabilité du métier selon les établissements. Instrumentalisé, réduit à un rôle bureaucratique dans tel établissement de centre ville, le CPE devient un animateur de la politique pédagogique de l’établissement quand celui-ci rencontre des problèmes. Il est alors le premier appui, le plus constant et parfois le seul collaborateur du professeur principal. Il est aussi parfois le seul appui pour des élèves dépassés par leurs difficultés personnelles ou scolaires.

C’est dire que les CPE sont les chevilles ouvrières de la démocratisation du système éducatif. Même si cette importance n’est pas forcément reconnue. Ainsi le nombre de postes mis au concours a été divisé par deux en 2006. Il n’est déjà plus que le tiers de celui de 2003. Voudrait-on le faire disparaître ? Seule une mutation profonde du système éducatif français pourrait faire évoluer en profondeur la fonction en la noyant dans une gestion commune des fonctions éducatives par les enseignants. C’est un terrain où il y a peu de chance que la Commission sur le métier d’enseignant s’engage. Les Cpe continueront donc à soutenir un système éducatif qui n’a pas réussi l’unité des fonctions éducatives.

L’étude (en pdf)

La rubrique Vie scolaire du Café

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Financement de l’éducation : les inégalités mondiales persistent

« Aucun pays réellement désireux d’atteindre les objectifs de l’Éducation pour tous ne devrait voir son action entravée par le manque de ressources ». C’est ce que la Communauté internationale a promis en 2000 lors du Forum mondial sur l’éducation. Sept ans plus tard, le Recueil de données mondiales sur l’éducation de l’Unesco montre que l’effort éducatif se heurte souvent sur le manque de ressources.

Le Recueil met en évidence les énormes inégalités dans l’investissement éducatif. Ainsi alors que les pays développés consacrent plus de 5% de leur PIB à l’éducation, les pays d’Asie centrale et orientale dépensent moins de 3%. «  Les gouvernements consacrant beaucoup d’argent à l’éducation y affectent huit à vingt fois plus d’argent, en termes relatifs, que les pays qui investissent le moins dans ce secteur. Onze pays affichent ainsi des dépenses publiques en éducation qui ne dépassent pas 2 % du PIB. Il s’agit, pour les États arabes, des Émirats arabes unis (1,3 %) et du Qatar (1,6 %), pour l’Asie de l’Est et le Pacifique, de l’Indonésie (0,9 %) et du Cambodge (1,9 %), de la République dominicaine (1,8 %) et des Bermudes (1,9 %) pour les Caraïbes et enfin, de la Guinée équatoriale (0,6 %), du Cameroun (1,8 %), de la Zambie (2,0 %), de la Gambie (2,0 %) et de la Guinée (2,0 %) pour l’Afrique subsaharienne » (celle-ci dépense en moyenne 4,5%).

A ces inégalités relatives s’ajoutent les écarts absolus. Qui sait par exemple que le budget de l’éducation français est supérieur aux dépenses d’éducation de tous les pays d’Afrique subsaharienne ? » C’est au Congo, en Guyane et à Sainte-Lucie que la situation est la plus dramatique. En termes réels, les dépenses d’éducation ont en effet diminué d’un tiers par rapport à 1999″.

Enfin le rapport montre les inégalités internes. Par exemple en Erythrée la moitié des enfants ne sont pas scolarisés et ne bénéficient pas de ces dépenses. En Inde la majorité des enfants a accès à l’enseignement primaire peu coûteux mais est exclue des niveaux supérieurs qui consomment un fort pourcentage des ressources. Le gestion pédagogique des systèmes éducatifs affecte également ses coûts. Ainsi le Burundi ou la Namibie, où le redoublement est institué, dépensent presque 1% du PIB à son financement, alors même que son efficacité est loin d’être démontrée.

Rapport Unesco

Sarkozy et l’Ecole : déclarations et décryptage

« Je vais m’engager personnellement pour la revalorisation du métier d’enseignant ». Le président de la République a rendu hommage aux éducateurs le 7 octobre. La promesse n’émeut pas le Se-Unsa qui publie une analyse critique de la Lettre aux éducateurs de N. Sarkozy.

En quelques pages, le syndicat reprend les engagements présidentiels. « Ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux » cela veut dire supprimer 85 000 emplois d’enseignants en 5 ans (sur 830 000) et accueillir 120 000 élèves supplémentaires… « L’individualisation des rémunérations » est déjà expérimentée rappelle le Se-Unsa. Premier bilan : on a deux fois plus de chances d’être promu en centre ville qu’en zep !

Dépêche AFP

Document Se-Unsa

Primaire : Les instits et les heures supplémentaires

Selon le Snuipp, les enseignants du primaire pourront bénéficier de la défiscalisation des heures supplémentaires effectuées pour les collectivités locales.

Communiqué

Afrique de l’ouest : C’est la rentrée !

En Afrique de l’ouest, la rentrée est toujours difficile. Les parents doivent trouver l’argent des fournitures. Le gouvernement doit dégager les moyens nécessaires à une scolarisation croissante. Ainsi à Tambacounda, au Sénégal, le goulot d’étranglement semble être en sixième. Devant l’afflux des élèves faut-il construire un 3ème collège ?

Article du Sud Quotidien

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Des parents portent plainte contre une instit

Trois familles ont porté plainte à Bourg-de-Thizy (Rhône) contre une nouvelle enseignante accusée de donner des coups de règles aux enfants. Selon l’AFP, une enquête judiciaire est en cours.

Article AFP

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Citoyenneté

L’amendement ADN entrera-t-il en vigueur ?

Modifié par le Sénat (voir L’Expresso du 5 octobre), l’article sur les tests ADN inséré dans la loi sur l’immigration suscite toujours de vives réactions. Le premier ministre, François Fillon, n’a pas évité un dérapage en déclarant devant l’UMP que cet article n’est qu’un « détail », liant sans doute involontairement cet article à des réminiscences nazies.

Dans Le Monde, Bertrand Mathieu, professeur de droit à Paris I, membre du comité sur la réforme des institutions, attend du Conseil constitutionnel qu’il supprime cet article. « Dans un premier temps, le recours aux tests génétiques a été considéré comme une dérogation limitée à la recherche d’auteurs d’infractions les plus graves, et pour permettre à un enfant d’établir sa filiation. Le nouveau champ ouvert par cette loi n’est probablement pas le dernier. D’où la nécessité d’un encadrement par le Conseil constitutionnel ».

En attendant cette éventuelle annulation, les pétitions contre le projet de loi continuent à accumuler les signatures, entre autres d’enseignants. Un autre article pourrait venir alimenter le débat. L’article 20 autorise les études statistiques à caractère ethnique, religieux ou racial, ce qui pourrait ouvrir la porte à des publications de nature raciste.

Article du Monde

Pétition de SLR

Pétition de Charlie Hebdo

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Les disciplines

Primaire : Le Nouvel Educateur reparaît avec un numéro sur les maths

« Les maths c’est naturel ! » proclame ce nouveau numéro du Nouvel Educateur. Car c’est bien un renouveau pour la revue du mouvement Freinet. Le regain d’intérêt pour les idées de C. Freinet,le succès du dernier congrès de l’Icem, permettent de faire redémarrer la revue.

Au sommaire de ce numéro, une douzaine d’articles qui montrent comment enseigner les maths avec la méthode naturelle. Il y est question de créations mathématiques, de texte libre en maths. Un numéro à découvrir !

Le sommaire

Français : Littérature et socle commun : quelle continuité école- collège ?

« Au moment où la perspective du socle commun de connaissances et de compétences reconfigure le système scolaire, il apparaît indispensable de repenser clairement la continuité école/collège en cernant les déplacements à la fois nécessaires et possibles en matière d’apprentissage/enseignement du français, qu’il s’agisse de la littérature (et plus largement de la « culture humaniste ») ou de la maîtrise de la langue« . L’Inrp organise un colloque du 12 au 14 mars à Lyon. Les contributions doivent parvenir avant le 30 octobre.

Appel à contributions

Sciences : L’Europe condamne le créationnisme

« Nous sommes en présence d’une montée en puissance de modes de pensée qui remettent en question les connaissances établies sur la nature, l’évolution, nos origines, notre place dans l’univers ». Inquiet des progrès du créationnisme, cette idéologie qui nie la théorie de l’évolution, les parlementaires du Conseil de l’Europe ont adopté le 4 octobre une résolution qui invite les états européens « à s’opposer fermement à l’enseignement du créationnisme en tant que discipline scientifique, au même titre que la théorie de l’évolution et en général à ce que des thèses créationnistes soient présentées dans tout cadre disciplinaire autre que celui de la religion ; à promouvoir l’enseignement de l’évolution en tant que théorie scientifique fondamentale dans les programmes généraux d’enseignement ».

Ils ont rappelé que « l’évolution ne se réduit pas à la seule évolution de l’homme et des populations. Sa négation pourrait avoir de graves conséquences pour le développement de nos sociétés. Le progrès de la recherche médicale en vue de parvenir à lutter efficacement contre le développement de maladies infectieuses telles que le sida est impossible si l’on nie tout principe d’évolution. On ne peut pas avoir pleinement conscience des risques qu’implique le recul significatif de la biodiversité et le changement climatique si l’on ne comprend pas les mécanismes de l’évolution ». La résolution a été adoptée par 48 vois contre 25. Parmi ces derniers des députés polonais, allemands et italiens, généralement du PPE.

A noter qu’en Angleterre, le débat rebondit avec une prise de position de l’institut d’éducation de Londres qui appelle à préparer les enseignants à affronter la théorie et à inscrire dans les programmes sa réfutation.

Communiqué

Résolution

Dans le Guardian

L’Histoire-géographie au lycée professionnel : De l’utilité de l’Ecjs…

Faisant suite à un précédent travail sur l’histoire-géographie au collège, cette nouvelle étude de la DEPP (ministère de l’éducation nationale) se penche sur « l’image de la discipline et pratiques d’enseignement en histoire-géographie et ECJS au lycée professionnel« . C’est dire son intérêt ne serait-ce que parce que l’univers de l’enseignement professionnel est encore nettement moins objet d’étude que l’enseignement général.

Il est aussi plus paradoxal. Paradoxe des goûts des personnels : les PLP Lettres-Histoire-géographie ne sont pas attirés par la bivalence. Ils sont surtout diplômés en histoire mais préfèrent enseigner les lettres. Devant un public difficile, ils ont plus souvent l’occasion d’être des éducateurs que leurs collègues des lycées généraux mais pour autant se voient d’abord en enseignants disciplinaires…

Doit-on souligner l’écart entre ce que disent enseigner les professeurs et ce que perçoivent les élèves ? L’écart était déjà bien réel au collège. En L.P. , en histoire, les professeurs enseignent « les moyens de comprendre le monde » mais les lycéens déclarent apprendre des dates et des événements (objectif de 5% des profs). En géographie 66% des profs enseignent les relations entre les hommes et leur environnement mais seulement 48% des élèves en sont conscients…

Mais les écarts se creusent encore davantage quand il s’agit des TICE. Les élèves voudraient travailler davantage sur l’actualité, utiliser l’informatique (56%), choisir parfois le sujet du cours (48%). Or seulement 6% des enseignants utilisent parfois l’informatique en histoire, 7% en géographie. 81% des élèves n’utilisent jamais l’informatique alors qu’à 56% ils le souhaiteraient.

Et l’Ecjs (éducation civique juridique et sociale) dans tout cela ? Cet enseignement semble associer vraiment enseignants et élèves : les uns et les autres y sont conscients d’y construire des citoyens responsables. Elèves et professeurs y apprécient les débats.

Terminons en soulignant des points positifs. Si les élèves ne voient pas le lien entre ces disciplines et la vie professionnelle, ils y réussissent majoritairement mieux en L.P. qu’au collège et l’histoire – géographie fait l’objet de discussions entre eux. Il n’y a pas de rejet de ces disciplines. C’est un point à souligner dans une filière où les jeunes ont souvent eu un vécu douloureux avec l’Ecole. Les professeurs de L.P. n’y ont pas pour rien…

L’étude (en pdf)

Sur le Café : Histoire-géo : un seul lit pour deux rêves

Géographie : Souvenir de Saint-Dié

« Le FIG formidable ! Le bilan est positif sans conteste mais il faut y apporter quelques nuances. Il semble à écouter nombre de festivaliers que cette année soit marquée par une bonne et une mauvaise nouvelles liées l’une à l’autre : plus de festivaliers présents à Saint-Dié et des files d’attente plus longues. » Cyril Froidure participait pour le Café au Festival de géographie de Saint-Dié (Vosges). Il reviendra en détail sur l’événement dans la rubrique géographie du prochain Café mensuel mais nous envoie dès maintenant cet écho. « La plus-value apportée par la rencontre de personnalités de spécialités différentes, la complexité des phénomènes climatiques, géopolitiques et géographiques, la formidable émulation et l’impérieuse nécessité de l’échange entre citoyen et scientifique entre lesquels, et ce sera la seule image « énergétique » que j’utiliserai, le courant est et doit passer ».

Lire le reportage de C. Froidure

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les tice

Enseigner l’informatique pour mieux l’enfermer ?

« De récentes prises de position sur une demande d’un enseignement de l’informatique et des TIC explicite dans le système scolaire amène à quelques réflexions » écrit Bruno Devauchelle sur son blog. « Après avoir constaté que les enseignants sont réticents à intégrer les TIC dans leur pratique d’enseignement et que les établissements, dans leur projet global ne font pas vraiment de place aux TIC pour l’enseignement, certains en appellent à un retour d’un enseignement des TIC pour les élèves. Au nom de la fracture numérique, de l’approximation des compétences réelles des jeunes, il faudrait faire rentrer les TIC dans la forme scolaire et l’imposer aux élèves. Ce retour à des anciens débats doit nous alerter sur l’état du système scolaire et de ses acteurs. Ne fonctionnerait-il que selon le bon vieux modèle comportementaliste de la carotte et du bâton ?… Examinons de près cette proposition : Imposer aux élèves un enseignement spécifique TIC risque de produire l’effet contraire à celui souhaité : assécher l’usage scolaire des TIC et l’enfermer dans un carcan technico-pédagogique ?… Abandonner l’approche proposée par l’intégration des TIC dans les disciplines c’est risquer d’éloigner encore plus l’école de ses vrais objets de travail, « le savoir en contexte » pour promouvoir des « savoirs décontextualisés ».

Lire la suite sur le blog de B. Devauchelle

Failles dans Quick Time et Java Rune Time

Secuser signale le correctif à la faille détectée dans Quick Time en septembre. Il convient de télécharger la mise à jour. Plusieurs défauts de sécurité ont été détectés dans Java Runtime Environnement, un logiciel gratuit utilisé pour exécuter des applications Java. Un correctif est là aussi disponible.

http://www.secuser.com

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le Cafe

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